À l’angoisse de l’incertitude, les familles des migrants portés disparus doivent aussi faire face à des problèmes d’ordre financiers, juridiques et administratifs, auxquels s’ajoutent parfois les conséquences psychologiques et psychosociales liées à « la perte ambiguë » – ce syndrome né de l’incertitude, « mort ou vivant ? »
Autorités religieuses, chefs de village, responsables associatifs jouent un rôle primordial dans l’accompagnement des familles auquel la Croix-Rouge sénégalaise et le CICR tentent d’apporter soutien et réconfort.
Voici un grand format multimédia consacré à cette situation. [Cliquez sur l’image]