Les manifestants à l'extérieur de la salle d'inauguration
Hier, au domaine de la Rural, la Feria del Libro ouvrait ses portes et Pablo Avelluto, secrétaire d’État à la Culture, était le représentant du gouvernement qui devait faire l’un des deux discours d’ouverture. Cela n’a pas manqué : son discours a été couvert par les sifflets et les cris de manifestants qui contestaient l’ensemble de la politique gouvernementale, du droit à l’avortement à la baisse des budgets de l’enseignement en passant par les violences policières qui ont fait plusieurs morts depuis trois ans.
Le ministre est à la tribune et les manifestations commencent
Ce ministre n’a jamais su se faire aimer du monde culturel qu’il n’aura jamais su écouter et respecter depuis bientôt quatre ans qu’il occupe ce poste, aux intitulés qui ont varié dans le temps.
Tous les journaux reviennent sur ces incidents, avec un titre très contestable dans La Nación qui assimile les manifestants à des intolérants, alors que l’intolérance n’y est pour rien mais la responsabilité politique et économique du gouvernement pour beaucoup.
Pour aller plus loin : lire l’article de Página/12 lire l’article de La Prensa lire l’article de Clarín lire l’article de La Nación