Des Hommes des Dieux ou des Génies

22 avril, 2019 (00:04) | Abondance :-) | By: lespacearcenciel Hommes Dieux Génies

Des Hommes des Dieux ou des Génies Des Hommes, des Dieux ou des Génies ?

Il fut un temps où l'on avait besoin d'un nombre incalculable d'âmes pour construire des empires. À cette époque, chaque âme avait son importance en fonction de ses compétences ; maçon, charpentier, couvreur, boulanger, agriculteur, berger, militaire, architecte, artiste, médecin, forgeron etc. Chaque homme avait en contrepartie du fruit de son travail le respect des autres et l'argent établissait une juste compensation dans la répartition des tâches. Le pouvoir temporel de l'état-providence régnait sur la cité et le pouvoir spirituel de l'Église sur les pauvres âmes en souffrances. Les femmes quant à elles avec l'aide du pouvoir des prêtres et de confesse via la menace de l'enfer du péché de la chair et des désirs qu'elles éveillaient chez les hommes assuraient générations après générations la reproduction stricte de l'espèce croyante de l'époque !

râce aux guerres de religions et à un habile formatage des âmes en souffrances, la race des hommes via la dégénérescence génétique de l'espèce a produit avec le temps des monstres sans cœur qui se prennent aujourd'hui pour des dieux ! Les intellectuels de la " raison " ayant remplacé les religions ont pris le contrôle des âmes et des corps, rendant ces derniers serviles à souhait via l'argent ! L'automatisme, les nouvelles technologies, l'intelligence artificielle sont le résultat d'un progrès qui tout doucement est en train de faire comprendre à l'homme " dégénéré " qu'il ne sert plus à rien ! Alors qu'avant la société avait un terrible besoin de corps, aujourd'hui le système n'a presque bientôt plus besoin d'esprit ! (Arrivée imminente des Robots)

a caricature " zombie " de l'homme nouveau devenu le " golem " du système financier va disparaître au détriment des génies ! Celles et ceux qui comprennent de l'intérieur et par le " cœur " que le système ne sert aucunement leurs intérêts vont pacifiquement révolutionner le monde via l'exemple de leurs vies ! Comment ? Par la prise de conscience et de contrôle du seul dénominateur commun d'une espèce dégénérée : L'argent !

" Quand on pense qu'il suffirait que les gens
n'achètent plus pour que ça ne se vende pas ! " Coluche

n prenant habilement le contrôle de l'argent par le " cœur ", le " don " et dans une forme de " non-violence " dans l'action à l'image de " Jack " dans le film " Titanic " de " Gandhi " ou du " Christ ", de " Bouddha ", ou de " Mahomet ", ils reprendront le contrôle de leurs vies " volées " au détriment d'un système mort né qui a voulu les détruire ! Fin d'un monde, donc Nouveau Monde ; en bref : Juste retour : des choses !

B ien chaleureusement votre à toutes et à tous,
E t à très bientôt,
H ugues

Le pauvre Van Gogh n'a vendu
qu'un seul tableau de son vivant !

À la question sur l'oracle Google de "combien rapportent les œuvres de Van Gogh" aujourd'hui ? - Selon un article de 2015 vue sur "lesEchos.fr" intitulé - " Van Gogh, star du business " de Denis Cosnard : [...] Dernier symptôme de cette Van Gogh-mania qui ne se dément pas : le Hollandais reste le peintre le plus cher au monde. En 1990, chez Christie's, un industriel japonais avait déboursé 82,5 millions de dollars pour le " Portrait du docteur Gachet ". Le record tient toujours. En 1998, un autre Van Gogh a été adjugé 65 millions de dollars. Sur les 5 tableaux les plus coûteux du marché, on compte ainsi deux œuvres de l'artiste. [...]

[...] " Avec l'Égypte et les impressionnistes, Van Gogh fait partie des trois thèmes qui marchent à tout coup, analyse Gilles Muller, président de Museum & Industries, une association de professionnels des produits dérivés. Les couleurs sont faciles, les tournesols ont une forme propice à nombre de déclinaisons, et, surtout, on touche tout le monde. Les scolaires, le grand public, mais aussi les gens plus cultivés. L'image de Van Gogh est si bonne qu'ils ne se sentent pas dévalorisés d'offrir un produit qu'aiment aussi les milieux populaires. " [...]

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