C'est ce qu'affirme l'Elysée :
"L'Elysée a ainsi qualifié dimanche d' «erreur historique» le fait d'imputer à Damas cet attentat. «Le Drakkar, ce n'était pas la Syrie. La Syrie, c'était l'attentat contre l'ambassadeur de France au Liban Louis Delamare en 1981. Le Drakkar, c'était l'Iran et le Hezbollah», a déclaré à la presse une source élyséenne. «C'est une polémique qui n'a absolument pas lieu d'être», estime-t-on à la présidence de la République".
- Le président syrien a toujours été considéré comme impliqué dans l'attentat qui a couté la vie à 58 soldats français au Liban en 1983, jusqu'à l'ère Sarkozy;
- Les anciens des opérations extérieures manifestent contre sa présence à Paris demain pour le défilé;
- Une promotion d'officiers de Coëtquidan qui porte actuellement le nom d'un officier mort dans cet attentat doit défiler demain devant le président syrien.
Si, il y a bien un grand malaise, l'origine réelle de la mort de 58 de nos soldats français que rien ne doit souiller...