Hammershøi au Musée Jacquemart André (suite)

Publié le 02 avril 2019 par Onarretetout

Après les paysages, les intérieurs qui peuvent paraître austères, nous voici dans l'intime, dans la sensualité, le désir. La nuque offerte, le relâchement des épaules, et même la nudité. Mais pas de visage, pas de regard, pas de lèvres. Une certaine distance, toujours.