Voici une artiste que j’ai eu la chance de découvrir il y a un peu plus d’un an. Un peu par hasard. J’étais en voiture avec une amie qui avait mis de la musique, en fond, c’est-à-dire à un volume raisonnable. À un moment, une voix et un piano se distingue – surtout pour moi, curieux que je suis en musique ! Puis, je regarde vers l’écran du lecteur et lis ce nom : Anna Aaron, que j’ai retenu.
Je rectifie donc : j’ai découvert Anna Aaron, un peu par hasard, beaucoup grâce à ma curiosité. Ici, cette curiosité m’a permis de connaître une artiste au talent qui me touche directement.
Dès lors, quelle joie de découvrir enfin sa musique avec ce nouvel album qu’elle nous promettait déjà l’été dernier et que j’attendais depuis ! Car, oui, Pallas Dream est une œuvre incroyable, sortie du plus profond d’une artiste qui a déjà conquis nos amis Suisses bien sûr, ainsi que nos voisins Allemands. Aussi vais-je de ce pas corriger une anomalie, et lui permettre un peu plus de pouvoir également trouver son public chez nous.
À l’écoute des onze chansons de l’album, on distingue diverses influences, et j’avoue que je n’arrive jamais vraiment à m’arrêter sur l’une d’elles. Est-ce que la Bâloise les a intégré au point que, finalement, elle s’est créée une personnalité et un style propre ? Cela semble être de toute évidence le cas.
Je suis heureux d’avoir découvert Pallas Dream, qui est une œuvre splendide, imaginée par une artiste qui sera assurément l’un de mes plus jolis coups de cœur de l’année.
(in heepro.wordpress.com, le 21/03/2019)
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