Oh je ne dis pas le fin visage.
Mais à la gare tout plein d’ébriété
le garçon les yeux vers ses lointains rivages.
*
Esiste ancora al monda la bellezza ?
Oh non intendo i lineamenti fini.
Ma alla stazione carico di ebbrezza
il giovane con gli occhi ai suoi lontani lidi
***
Sandro Penna (1906-1977) – Croce e delizia (1958) – Croix et délice & autres poèmes (Ypsilon, 2018) – Traduit de l’italien par Bernard Simeone.
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