Des mystères multiples entourent les personnages, un danger mal défini semble naître des situations les plus incongrues, l’intérieur mystiquement alvéolé d’une tête, celle de Melville ou celle du scénariste, ne se visite pas selon une logique simple. Au contraire, la complexité est à la base de Tiens ferme ta couronne, mais une complexité qui trouve en nous des échos renvoyant à quelque chose de grand, d’impossible même à mesurer vraiment. C’est pourquoi on aime la folie de ce livre.
Des mystères multiples entourent les personnages, un danger mal défini semble naître des situations les plus incongrues, l’intérieur mystiquement alvéolé d’une tête, celle de Melville ou celle du scénariste, ne se visite pas selon une logique simple. Au contraire, la complexité est à la base de Tiens ferme ta couronne, mais une complexité qui trouve en nous des échos renvoyant à quelque chose de grand, d’impossible même à mesurer vraiment. C’est pourquoi on aime la folie de ce livre.