Et voilà… Le train m’a filé sous le nez sans crier gare.
- Et je reste là sur le quai à crier misère parce qu’il va falloir que j’attende 3 heures avant d’en avoir un autre.
- J’ai envie de crier comme un putois, de hurler, de tempêter.
- Mais à quoi bon ? Autant crier dans le désert.
- Surtout n’ébruitez pas ma mésaventure. Ne la criez pas sur les toits. Sinon tous les copains vont se moquer de moi.