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De nouveaux besoins rentrent en ligne de compte :
‒ le transfert de connaissance aux équipes existantes (30 %) ;
‒ l’accès aux compétences techniques parfois très spécialisées versus le recours à un prestataire de conseils traditionnel (29 %) ;
‒ l’apport de nouvelles idées (25 %).
Le monde du travail ne cesse d’évoluer, on le voit, l’intérim, le CDD, le freelancing, présentent des atouts aux yeux des directeurs d’entreprise. Leur image change, au point d’apparaître comme la solution au besoin d’adaptation des entreprises à certaines périodes de leur développement. Selon ces DG et DSI interrogés, l’intérim, le CDD, le travail indépendant, peuvent se hisser au rang du travail dit permanent (CDI). La combinaison actuelle qui remporte le plus de suffrage (16 %) comporte :
70 % de CDI et 30 % d’intérimaires, CDD, indépendants
D’ici 5 ans, les 16 % du panel envisagent un 50 – 50 Parmi les types d’actifs qu’ils engageront, toujours à horizon 5 ans, le panel privilégie le recrutement d’intérimaires, via des cabinets de recrutement (37%) ou des indépendants en CDD ou non, via un cabinet de recrutement (34%) ou sur des plateformes dédiées (30%). « La transformation numérique s’accompagne de nouveaux modes de travail, c’est un vecteur fort de la montée en puissance des professionnels intérimaires et même indépendants. De même, les entreprises recherchent ces professionnels pour des besoins qui peuvent être l’apport d’idées, d’une expérience ciblée. Les entreprises pensent de plus en plus à faire interagir des actifs en mode projets, avec des salariés pourvus de la culture d’entreprise, et exerçant leur cœur de métier. L’entreprise de demain ne serait plus seulement un employeur, elle deviendrait un apporteur d’affaires », explique Olivier Gélis, directeur général, Robert Half France.