Le géant de la logistique, qui ne paie pas d’impôts sur ses bénéfices colossaux, a licencié quatre salariés pour faute grave.
En cause : des messages sur des groupes Facebook des gilets jaunes.
En clair, cette multinationale s’octroie le droit de licencier, sans préavis ni indemnité, pour délit d’opinion qui plus est exprimée en dehors de l’entreprise.
La violence de cette décision est à l’image de celle du gouvernement et du président des riches, qui organise l’injustice sociale et protège les bénéfices des grandes entreprises ; Amazone fait partie de celles-là.
Partout la solidarité s’organise pour exiger la réintégration de ces quatre salariés.
Section de Sète du PCF