En résumé, grâce au GIEC, il s’est créé une vaste “industrie” planétaire des changements climatiques. Bon nombre de groupes de pression, activistes, écologistes, politiciens, scientistes, chercheurs, artistes, journalistes etc. y ont trouvé leur compte. Une nouvelle mine d’or s’ouvre à eux pour aller chercher budget, subventions et reconnaissance.--- Jean Du Berger via Reynald Du Berger