Avec une cérémonie plus dense et qui a démarré tardivement... " comme à son habitude " me direz-vous mais encore plus car Miss Machins (aka Ingrid Heiderscheidt) joue dans " MacBeth " au Théâtre Royal du Parc. " Pour une fois qu'une personne présente aux Machins a du boulot, on ne va pas lui en vouloir tout de même ! "
C'est étrange ce début d'article où je joue deux personnages. Bon ! Je reviens au palmarès :
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le Machin de la première réplique
" C'est bien, je vois qu'il y a beaucoup plus de monde à son enterrement qu'à notre mariage. " dans le film " Troisièmes Noces " de David Lambert. -
Le Machin du super papa
François Damiens, papa à l'éducation irréprochable dans " Mon Ket" . -
Le Machin du Recyclage
Yves Hinant et Jean Libon, pour le recyclage de leur propre émission télé " Ni juge, ni soumise" . -
Le Machin du tout petit métier du cinéma que certains se risquent à nommer réalisatrice de long métrage de fiction qui sort en salle
(C'est un long titre que j'ai du relire plus d'une fois pour le comprendre...) la lauréate est Amélie Van Elmbt pour " Drôle de père ". -
Le Love Machin Coïtus Interruptus
" La Grand Messe " - pas de faciale, j'ai ma frontale
On retiendra de cette 8ème édition :
- trois quart d'heure américain desquels Jean-Jacques Rausin est reparti bredouille (comprendra qui verra ma vidéo Magritte... voir la vidéo !),
- une Sophie Maréchal mal à l'aise sur la scène pour remettre un machin non remis à qui vous savez pour sa double facturation TS. (TS n'étant pas ici les initiales de " tentative de suicide " car, pour le coup, qui vous savez l'a réussi...)
- une reconnaissance (enfin) du cinéma belge pour le talent de François Damiens... mais il n'est pas venu chercher sa moule car il a préféré aller au Magritte où, pour la 7ème fois, il est resté sur son fauteuil...
- un fougueux baiser de cinéma de Bouli Lanners à moi (voir dans la vidéo ci-dessus) qui a directement évacué celui des lèvres douces de Stéphanie de Crayencour.