Cette année, le gouvernement portègne a baissé d’un tiers le nombre de voies publiques sur lesquelles les cortèges pourront défiler. Il s’agit de complaire aux riverains qui se plaignent de ne pas pouvoir circuler le samedi et le dimanche à cause des rues et avenues réservées aux piétons. On attaque une année électorale et ceux qui se plaignent le plus fort votent en majorité à droite, tandis que ceux qui défilent (bruyamment) sont plus nombreux à voter à gauche, donc pour l’opposition municipale.
Dans d’autres parties du pays, les festivités commencent aussi ce samedi 2 février. C’est le cas, par exemple, à Jujuy.
Pour aller plus loin : lire l’article de Clarín, illustré de très belles photos.