Préparatifs du Te Deum pour l'anniversaire de la victoire en août 2016
chœur de la basilique du Rosaire couvent des dominicains (Montserrat)
avec le détachement du régiment des Patricios, premier régiment d'infanterie d'Argentine
le corps alors milicien qui a été au cœur de la résistance portègne à l'invasion
A deux reprises, les troupes de Sa Gracieuse Majesté furent rejetées non pas à la mer mais au fleuve, les deux fois sous les ordres d’un officier d’origine français, Jacques de Liniers, plus connu en Argentine sous son nom hispanisé de Santiago de Liniers y Brémond.
Dans le cœur historique de Buenos Aires, on conserve plusieurs vestiges de ces événements qui permirent aux Portègnes et plus largement aux futurs Argentins d’envisager sinon l’indépendance du moins l’autonomie par rapport à la métropole péninsulaire : les églises de la Merced et du Santo Rosario-Santo Domingo, la maison du vice-roi Santiago de Liniers (que l’on visite sur rendez-vous), le Cabildo et la cathédrale sont des lieux où le souvenir de ces événements est conservé. Dans le voyage que je vous propose avec Odeia, en novembre prochain, une bonne partie de la première journée complète nous permettra de faire ce parcours (voir mon article à ce propos).
Pour le moment, cette loi n’est pas visible sur place. Il faut maintenant que le ministère de la culture portègne fasse concevoir et installer tout le matériel signalétique et ce n’est pas une petite affaire...
Pour en savoir plus : lire l’article de Clarín d’hier.