On est loin, très loin, avec L’art de perdre, des lectures que l’on suppose, quand on en ignore tout, aux grands adolescents – nourris au manga, à Harry Potter ou à ses successeurs et à la nourriture bio ? Les lycéens sont prêts, de toute évidence, à affronter des problèmes délicats, à ne pas se laisser dicter des opinions définitives et à défendre le sens des nuances dont Alice Zeniter fait un si bel usage. C’est plutôt rassurant, non ?
On est loin, très loin, avec L’art de perdre, des lectures que l’on suppose, quand on en ignore tout, aux grands adolescents – nourris au manga, à Harry Potter ou à ses successeurs et à la nourriture bio ? Les lycéens sont prêts, de toute évidence, à affronter des problèmes délicats, à ne pas se laisser dicter des opinions définitives et à défendre le sens des nuances dont Alice Zeniter fait un si bel usage. C’est plutôt rassurant, non ?