Sous prétexte que le vrai n’est ni tout blanc, ni tout noir, on nous ment. On nous refait l’histoire…
Le faux et l’usage du faux n’est pas une occurrence parmi d’autres mais leur mode d’existence. Leur volonté de puissance.
Et si ce mal est récurent c’est bien à cause de la concurrence.
C’est la surenchère qui leur fait débiter tout de travers… on exagère, on situe l’endroit à l’envers… on nous restitue de vraies fausses galères !
Non seulement pour se rendre maîtres et possesseurs de l’univers, mais surtout pour VENDRE.
Vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué.
La lune qui fait marcher l’homme ou l’homme qui a marché sur la lune. Un message bien codé, une image bien décalée… et le tour est joué.
Tour de passe-passe qui caractérise désormais tous les médias de masse.
Ils font courir des bruits pour nous faire boire la tasse ! Avec des histoires qui nous font dormir debout.
Et cette anesthésie n’est pas seulement locale, elle est devenue globale, mondiale…
Depuis qu’on a supprimé les frontières entre le rêve et la réalité, entre l’universel et le particulier, on peut désormais tout s’acheter en étant persuadé que c’est le seul moyen de nous racheter, d’accéder au Salut. Le Salut conçu ou perçu comme une vulgaire marchandise, qui sauve qui peut.
Et ce sont les médias qui gèrent ce marché de dupes où plus personne ne sait où il en est…
Même les plus indociles finissent par adopter ces mensonges utiles qui font espérer et prospérer !
Le pire, je vous le dis, c’est que nous ne sommes même plus sensibles à la vérité mais seulement à un mensonge abouti, à un trucage réussi, à un bonheur indéfini.
Les médias mentent pour se servir et nous asservir. Les réseaux sociaux mentent pour nous servir et nous apprendre à servir.
Tout compte fait, je déteste autant les uns que les autres.
Ce qui revient à dire qu’il ne faut pas se mentir mais juste retenir que la Vérité n’est pas bonne à dire.
Personne.
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble