Non, je ne parle pas de Jean Sarkozy, qui a bien retenu les leçons de papa sur l'art et la manière de planter les poignards dans le dos de ses "amis". Je parlerai simplement de mon fils, à moi. Mon Ulysse. Né il y a quelques jours à peine, il est déjà prêt pour la lutte, le poing gauche levé, rêvant avec force d'un monde plein de sagesse et de beauté. Bienvenue, mon petit chéri. Et bon vent, mon Ulysse...