Il y a deux jours, j’expliquais précisément pourquoi je ne signerais pas la pétition pour l’amnistie des gilets jaunes. Juste une question de cohérence politique personnelle. On lutte contre l’extrême droite… ou pas. Les principales raisons résidaient dans Le Média qui en était à l’origine et ses compromissions avec l’ennemi, la formation qui le soutient, l’identité de certains signataires, et leurs prises de positions incompatibles avec le mien, résolument antifasciste.
Parmi lesdites signatures, deux gilets jaunes que les médias main-stream qualifient généralement d’historiques : Eric Drouet et Maxime Nicolle. Sur Drouet, j’ai déjà écrit ce que j’avais à dire. Je pourrais en rajouter davantage avec ce que j’ai appris depuis. Le conflit qui les traverse aujourd’hui ne vient que conforter mon opinion. Mais je ne m’étais pas encore intéressé au pedigree et au positionnement que je sais plus que douteux de celui qui se fait appeler Flye Rider, dont on connait le penchant extrêmement marqué pour le complotisme de bas étage.
Or, il se trouve que vient de sortir une étude qui me dispense de bosser davantage mon sujet, mon plus grand soulagement. (Mettre la main à la pâte, et les pieds dans la merde de ce genre de comptes, comme je le fais si régulièrement, ça salit le cerveau, en effet).
Et cette fois, il y a encore moins d’ambiguïtés qu’avec Drouet. Jugez plutôt :
j’ai vérifié. Dans l’étude, on a même les visuels, du genre ça :
Trois fois rien, n’est-ce pas ? … Juste des détails, sans doute.
« MAIS PUISQU’ON VOUS DIT QU’IL LIKE AUSSI DU MELENCHON ! «
… Bien sûr, bien sûr, oui… Allez, c’est bon, j’en ai assez vu. Allez jouer ailleurs. Vous m’emmerdez. Grave.