Derrière la porte, qu’y a-t-il ? Une pièce interdite d’accès comme dans certains contes ? Un espace de liberté que semble dessiner le contour lumineux de son chambranle ? L’issue impossible ou l’accès possible vers un ailleurs ? Voilà ce qu’évoque cette toile de Judith Reigl.
Une fois qu’on a contourné cette toile, on trouve de l’autre côté un personnage de taille humaine, d’aspect humain, mais sans visage, sans rien qui le distingue. C’est peut-être un homme (la toile s’intitule L’égyptien) mais ce n’est encore qu’une silhouette.