Cette année, à la suite du #MeToo argentin dont je vous ai parlé en décembre, l’artiste a choisi de féminiser l’expression en y ajoutant un petit pléonasme des familles (bichita de la buena suerte).
Miguel Rep, dans Página/12, daté du 2 janvier 2019
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Et comme dit Rep dans sa légende : "Les petites bêtes porte-bonheur, pour l’année qui commence. Parce qu’on va en avoir sacrément besoin, c’est moi qui te le dis !" Traduction ©Denise Anne Clavilier
De toute évidence, il pense à la situation économique de l’Argentine, aux prochaines élections générales qui désigneront le prochain président et à ce qu’il se passait le même jour au Brésil, où Bolsonaro venait d'inaugurer son mandat (et prenait, dès le lendemain, des décrets scandaleux, pour placer les terres réservées aux peuples premiers sous la tutelle du ministère de l’agriculture, baisser le montant du salaire minimum et exclure la population LGTB de la politique des droits de l’homme). Et c’est dans ce beau pays que Juan Darthès, la vedette du cinéma et de la chanson poursuivie pour viols au Nicaragua et en Argentine, vient de se réfugier…
Allez, bonne année malgré tout !