Formule somme toute banale concernant le président le plus mauvais de la cinquième République (c'est terrible de pouvoir employer cette formule après seulement un an de présidence) ; nous
connaissons ses augmentatins de salaire et de frais de fonctionnement de l'Elysée, son besoin de se sentir entouré des personnes les plus riches de France et surtout son souci constant de vouloir
marquer les esprits pour faire parler de lui, peu importe les conséquences.
Cette semaine il annonce qu'il ira à la cérémonie d'ouverture des JO. "Minable", comme l'ont si bien dit Cohn-Bendit et Robert Ménard (Reporter Sans Frontière). Mais comme si ca ne suffisait pas,
"le-président-qui-ne-sert-à-rien" justifie son choix et s'enfonce encore plus. Permièrement il dit n'importe quoi (logique me direz-vous, quand vous ne servez à rien vous faites et dites
n'importe quoi) en disant que les chefs d'Etat européen veulent qu'il y aille : Angela Merkel et José Luis Zapatero ne le veulent pas. Et en plus, il montre tout son égocentrisme : "Je veux y
aller", dit-il. Mais nous n'en avons rien à faire qu'il veule y aller.
Mais le plus drôle (façon de parler) est qu'il dise que ce serait humilier la Chine s'il n'y allait pas. Très franchement la Chine se moque éperdument de la présence de Nicolas
Sarkozy. Il se sent important au point qu'il croit que la Chine se sentirait humiliée s'il n'y allait pas. Mais monsieur Sarkozy, vous ne servez à rien, et votre présence là bas ne servira à rien
non plus, les dirigeants chinois vous veulent présents juste pour étoufer les dissidences, pas parce que vous les intéressez et qu'ils seraient décus de ne pas vous voir.
S'il n'y allait pas il pourrait être grand...