Par contre, j’ai redécouvert ces derniers jours ma théorie de « poussée pelvienne » expliquée ici en mars dernier, comme moyen d’initier les virages en terrains difficiles et en pentes raides. J'ai pu ressentir ce phénomène l'an passé sans bien comprendre son fonctionnement.
Aujourd'hui, après en avoir expliqué le principe à mon épouse, je comprends mieux ce qui se produit.
Cette impulsion constitue un déclic utile dans tous les virages difficiles et une bonne façon d’éliminer le « ski paresseux » !