Connaissez vous votre degré de populisme?
Le populisme est-il aussi régressif qu'on le suggère?
Beaucoup de questions, peu de réponses.
Bernie Sanders, sénateur des États-Unis et candidat triché par Hillary Clinton à la candidature démocrate présidentielle, et Pablo Iglesias, dirigeant du parti de gauche en Espagne, sont issus de la gauche populiste.
Evo Morales, président de la Bolivie, Andres Manuel Lopez Obrador, président du Mexique, sont à la croisée des chemins entre la gauche populiste et la droite populiste.
Matteo Salvini, vice premier ministe italien, mais vrai chef de l'Italie, Donald Trump, hommes d'affaires louche et grossier, égaré à la présidence des États-Unis, Nigel Farage, parlementaire oblique britannique, et Viktor Orban, premier ministre de la Hongrie, sont de droite populiste.
Angela Merkel, ex-chancelière Allemande, est de la droite non populiste.
Barack Obama, dernier vrai président des États-UNIS et Manu Macron, actuel président français sont entre la droite non populiste et la gauche non populiste.
Faites le test ici.
Je serais plus près de Pablo Iglesias, dirigeant du parti Podemos, en Espagne, un parti de gauche. Il en est un des membres fondateur, et soutient l'actuel gouvernement socialiste minoritaire au parlement.
Je serais extrêmement éloigné de....Donald Trump.
(...)
QUI L'EÛT CRU?
Quiconque me lit le savait, aucune surprise ici. Le gouvernement actuel des États-Unis détourne la fonction de président pour en faire un groupe d'intérêt Étatsunien qui, ne voit aucunement l'idée de garder un équilibre mondial de paix si il n'y a pas une piasse à y faire d'abord. Comme si le principe premier et le guide ultime quotidien et mondial devait être l'argent.
La nouvelle
Ses comportement erratiques, son total désordre verbal et mental, sa toujours surprenante ignorance, son incapacité ;a vouloir apprendre ou comprendre, sa confiance aveugle en source non fiable, se dangereuses avenues de pensées, en font un homme extrêmement alarmant.
L'équilibre n'a jamais été livrée, le jour de la grande distribution, dans son quartier.
Dans un autre sondage, je devenais modéré. Étant de la tranche la plus populaire à la question "quel est le problème le plus important selon toi?" auquel j'ai répondu, comme 39,41% des gens, que c'était les inégalités sociales et économiques. J'ai beaucoup hésité avec le problème de la dégradation environnementale mondiale, et là aussi je serais resté dans le ton assez majoritaire puisque ce fût la seconde réponse la plus donnée, à 14,56%.
On accorde beaucoup de blâme au populisme.
Souvent avec raison.
Mais on apprend du populisme, j'espère.
On apprend au minimum, à ne plus refaire.