La Beauté, citoyen, vaste problème. Même pour nous, les boys, les Mâles, les kids, les keums.
Etre beau ? Kézako ? Etre métro, être über, être quoi ?
Le parti pris de L’Oréal : se sentir bien. Pas bête.
Parait qu’on va en moyenne 7 fois chez le coiffeur par an. Fonction utilitaire, certes. Mais pas que. Apanage du style, révélation d’une personnalité. Montre-moi ta mèche, je te dirai qui tu es.
Celle de côté, rebelle, celle à la renverse, en mode parrain.Bref, le cheveu est une partie intégrante de notre image. Donc aussi, de notre rapport à nous, et de notre rapport aux autres.
L’Oréal Professionnel m’invitait hier soir dans son Académie, rue Royale. 10 000 coiffeurs y passent chaque année, pour se former, pour cultiver un art certain.
L’occasion de manger un macaron et d’entrer dans un temple des tendances, de l’image. Et d’une partie d’un révélateur de l’histoire de notre société.
On se prend à se dire que peut-être, la coupe mulet sera étudiée au même titre que les coiffes de l’Egypte antique. Divagation.
La gamme L’Oréal Professionnel est à voir ici. Et c’est vrai qu’à l’utiliser, la salle de bains m’a presque paru différente hier soir.
Eric, Gregory, , Cyrille aka Captain Sous-Marin (on se comprend), Cyril aka grand-maître, Gaëtan, Romain, Cédric avec qui on s’est présentés pour la dixième soirée consécutive (faudra penser à peut-être qu’on parle normalement hein) et les délicieuses Juliette, Noémie (qui a selon nos sources changé sa frange - je ne peux témoigner) étaient de la partie. Fort sympatique… Ah et j’oubliais Emery qui commence la tecktonique bien sûr.