Présentation de l’éditeur
À quelques kilomètres d’Oslo, l’hôpital psychiatrique de Gaustad dresse sa masse sombre parmi les pins enneigés. Appelée sur place pour un suicide, l’inspectrice Sarah Geringën pressent d’emblée que rien ne concorde. Le patient 488, ainsi surnommé suivant les chiffres cicatrisés qu’il porte sur le front, s’est figé dans la mort, un cri muet aux lèvres – un cri de peur primale. Soumise à un compte à rebours implacable, Sarah va découvrir une vérité vertigineuse sur l’une des questions qui hante chacun d’entre nous : la vie après la mort…
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Mon avis
Le cri n’est que suspens et action ! Cela tombe très bien, j’adore cela ! Nicolas Beuglet a su gérer son thriller avec perfection ! Une fois ouvert, on ne lâche plus son roman ! Le lecteur suit Sarah qui doit enquêter sur une mort suspecte dans un hôpital psychiatrique… Au fil des pages, on découvre un établissement très spéciale qui semble faire des expériences peu conventionnelles…
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Du suspens, des recherches scientifiques, de l’action, une pointe de romantisme, de l’humour… C’est ce qui vous attend dans Le cri ! Ce cocktail fonctionne très bien tant le roman est bien écrit… Au début, on se dit que l’enquête se passant en Suède, on va sans doute lire un polar scandinave au rythme lent… Cette idée s’envole très vite et laisse place à un thriller rondement mené qui nous fait voyager (Oslo, Paris, Etats Unis…) afin de découvrir un terrible secret sur la mort qui fait réfléchir sur ses propres croyances… De plus, les multiples rebondissements ne laissent pas le lecteur reprendre son souffle. L’histoire est intelligente et portée par des personnages (Christopher et Sarah) captivants et attachants même si parfois on a l’impression qu’ils sont des « surhommes »…
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L’écriture simple et rythmée permet de mieux entrer dans le récit qui fait froid dans le dos car l’histoire est inspirée de faits réels. Le côté scientifique n’est pas un frein à la lecture car tout est expliqué de manière accessible et compréhensible.
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A lire !
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