Ce n’est pas l’avis de Danièle Blondel, professeur émérite de sciences économiques à l’université de Paris Dauphine, et ancienne directrice de l’incubateur technologique Agoranov.
Pour elle, les transferts de savoirs scientifiques répondent à des dynamiques complexes qui échappent à la logique « linéaire » des pôles, et nécessitent des dispositifs intermédiaires à même de transcrire en langage d’entreprise les découvertes des laboratoires : les « Knowledge - Intensive Business Service », ou KIBS.
Ces sociétés de « courtiers en connaissance » pourraient non seulement accélérer les transferts de savoirs mais constituer un formidable débouché pour les doctorants en sciences français.
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Source: Journal Innovation