Je suis mise à la porte de chez moi, parce que je n'ai plus de quoi me payer un toit. C'est sévère d'être rattrapée par ses retards de loyers en plein hiver! Et je ne m'apitoie même pas sur mon sort en bravant le froid.
N'ayant rien signé, je n'ai aucun droit à faire valoir, excepté peut-être le droit d'écrire et de réfléchir sur ce monde qui va et ne me revient toujours pas...
C'est très couteux de se vouloir libre... j'écris pour vivre mais ça ne me donne pas de quoi vivre !
J'ai rédigé cette critique en désespoir de cause!