Son plaisir est d’enrichir régulièrement sa communauté, tout aussi passionnée qu’elle, et d’échanger entre lecteurs des impressions et remarques sur des quantités d’ouvrages.
Aujourd’hui, son papier porte sur le meilleur livre d’optimisme… enfin, n’anticipons pas et gardons la tête froide, l’optimiste est humble ! 🙂
A vous la parole, Madame :
« En débutant la lecture de ce livre, je me demandais comment l’auteur allait bien pouvoir m’aider à aller mieux un lundi matin comme le samedi ! En réalité, ce livre est bien plus que cela car il met en lumière les petites choses que peuvent composer notre quotidien et nous pourrir inconsciemment la journée, la soirée ou bien plus encore.
Partons sur le premier exemple abordé dans le livre qui m’a totalement parlé et pour cause. Lorsque je rends visite à mes beaux-parents ou que mes beaux-parents nous rendent visite, je ne comprends pas le besoin que ma belle-famille et mon mari ont à se dire qu’ils vont s’appeler pour se prévenir qu’ils sont/nous sommes bien rentrés chez soi/nous.
Pour ma part, c’est une chose que je n’ai jamais compris.
En discutant avec une amie, je me suis aperçue que je n’étais pas la seule à partager ce point de vue. Inconsciemment, je m’évitais du stress. Ce n’était pas de la désinvolture ou de la non attention que je porte aux personnes qui m’entourent.
Dans l’exemple que nous donne l’auteur, que la personne compte à peu près combien de temps les personnes vont mettre pour aller d’un point A à un point B, puis regarder sa montre jusqu’à ce que cette personne appelle pour dire qu’elle est arrivée à bon port, joue sur les nerfs. On se pose des questions, où est-elle ? N’ont-ils pas eu d’accidents sur la route ? Sans doute les bouchons ? Et si c’était pire ? Et s’il leur était arrivé quelque chose de grave ? Vous voyez où je veux en venir ?! Il faut laisser le temps faire le temps et arrêter de le fliquer. Si vous faîtes parties des personnes qui s’appellent pour se prévenir d’être bien arrivées, Jean-Luc Hudry donne de bonnes pistes pour lâcher du lest.
Evidemment, je ne vais pas vous lister les 25 situations évoquées dans ce livre mais celle-ci me tenait particulièrement à cœur car je l’ai encore vécu le week-end dernier ! De ce fait, j’ai collé le livre entre les mains de mon mari en lui disant, on en reparle quand tu l’auras fini !
Résultat des courses, il a compris qu’il s’auto-infligeait du stress bêtement et qu’il le communiquait à nos enfants. Alors je sais que cela ne va pas se faire en cinq minutes mais les défis que posent l’auteur dans l’ouvrage peut être un challenge intéressant, surtout si vous avez envie de changer pour mettre de côté votre pessimisme et faire vivre tout l’optimisme dont vous êtes capable.
En conclusion : ce livre est un must have pour combattre tout le pessimisme et le stress que l’on s’impose sans s’en apercevoir. L’auteur va vous montrer par des petites astuces comment se libérer de ses chaînes qui nous entravent… Etes-vous prêt à devenir 100 % optimiste ? En tout cas, je le suis ! »
Note : 9,5 sur 10
Alors …
Meilleur livre sur l’optimisme ?
Avec une telle appréciation, 9,5/10, on peut penser que Ca va comme un Samedi même le Lundi est bien le meilleur livre sur l’optimisme.Mais, au fond, peu importe.
Ce qui compte est de vous aider, concrètement, à mieux vivre les situations privées et professionnelles de votre quotidien.
Le reste est secondaire.
Et tous les auteurs apportent leur pierre à l’édifice.
Une bonne idée de cadeau pour vous accompagner tout au long de l’année !
Merci à Philippe Croizon pour sa jolie préface.
- Architecture du livre : 25 réflexes pessimistes très répandus
- Les comprendre pour mieux les éradiquer
- Les remplacer par 25 réflexes optimistes
- Mesurer vos progrès concrets
- Progression via 3 niveaux d’optimisme
- Prendre du plaisir à lire et à progresser
Quelques sujets parmi les 25 traités dans ce livre positif (vie personnelle et vie professionnelle)
- Comment ça va ? Comme un Lundi !
- Je ne l’aurai jamais cette augmentation
- Les banquiers, tous les mêmes…
- Les CV ne servent à rien, j’en ai envoyé des dizaines sans résultat.
- J’imagine toujours le pire
- Nos enfants vivront moins bien que nous
- Laisse tomber je me suis planté, tu n’y arriveras pas non plus
- Je n’en peux plus mes collègues de bureau sont tous pessimistes …
- Si je dis non, cela va me retomber dessus
- J’ai toujours peur de quelque chose
- Je suis débordé(e), jamais je ne trouverai de temps pour moi
- Raisonner Solution
- C’est la crise, j’attends que ça passe
- Je n’ai jamais de chance
- Ça ne marche jamais
- Je n’y peux rien moi !
Le dernier passage télé de Jean-Luc Hudry :