Cela fait déjà six mois que Christophe Michel-Romero nous a quittés. Six mois, déjà... Six mois seulement.
Le temps n'atténue pas la douleur. Le manque est permanent : chaque seconde, chaque minute, il est dans mes pensées.
Son dynamisme, sa force de conviction et sa bienveillance manquent dans les combats humanistes que nous menions ensemble. Je remercie les associations, les militants qui, chaque jour, par un mot, par un geste continuent à faire vivre sa mémoire.
Il y a des morts qui sont très vivants. C'est le cas de Chris...