Le problème c’est que les États mettent souvent en place des politiques publiques inefficaces. Par exemple, la subvention à la cimenterie McInnis, qui sera le plus grand émetteur de CO2 du Québec, les subventions à l’achat de véhicules électriques, qui coûtent une fortune par tonne de GES non émis et le Fonds vert, qui réduit les émissions à un coût de plus de 2000 $ par tonne (à titre de comparaison, le prix du carbone à la bourse est présentement d’environ 20 $, et la taxe fédérale atteindra un sommet de 50 $ la tonne en 2022).--- Germain Belzile