Mais cette montée laisse en dehors d’elle cette chair qu’elle est obligée de fuir, et la réalité totale se trouve de ce fait amputée de ce qui a du être rejeté.
C’est alors que se pose la question sublime :
Quelle aile à la deuxième puissance peut faire descendre sans pesanteur ?
Cette descente illumine tout sans rien sacrifier à la réalité intérieure, laquelle aussi demande rédemption.
Et voilà une musique qui touche à tout, même au plus vil, pour le rendre pur et poreux à la lumière.