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" data-orig-size="484,323" sizes="(max-width: 484px) 100vw, 484px" aperture="aperture" />Ronaldo, un contrôle antidopage qui ne passe pas
Sergio Ramos n’est pas le seul joueur visé par les dernières révélations des Football Leaks, concernant des cas de contrôles antidopage anormaux effectués au sein du Real Madrid. Cristiano Ronaldo est, lui aussi, pointé du doigt. Mais contrairement au défenseur espagnol, blanchi par l’UEFA après qu’un taux élevé de dexaméthasone, un corticoïde interdit par l’AMA, a été détecté le soir de la finale de la Ligue des champions 2017, l’attaquant portugais n’est pas épinglé pour une prise de produits illicites.
Selon Der Spiegel, le quintuple Ballon d’Or a contribué à fausser un contrôle inopiné, effectué à l’issue d’un entraînement de l’équipe alors entraînée par Zinedine Zidane, le 1er février 2017. Ce jour-là, les deux agents envoyés par l’instance européenne ont voulu tester dix joueurs, dont « CR7 ». Agacé d’être constamment ciblé, la star merengue a fait monter la température après une première piqûre, ce qui a « causé beaucoup de tension » selon le rapport rendu par les préleveurs deux semaines plus tard.
Une attitude qui a empêché ces derniers d’aller au bout de la procédure. S’ils ont pu contrôler Cristiano Ronaldo et Toni Kroos, ce sont les médecins du club qui ont pris le relais et examiné les huit autres Madrilènes visés. Une pratique interdite mais que les agents ont « acceptée exceptionnellement », pour éviter que la situation ne dégénère. Pour s’expliquer, la Maison Blanche a mis en cause le personnel de l’UEFA et assuré que son joueur s’était « plaint respectueusement ». Suffisant pour éviter une sanction.
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