Il a été demandé à la direction de la petite ligne privée de prendre des mesures pour cette situation cesse. Les chauffeurs se sont mis à empêcher les employées de maison de monter à bord du car lorsque des propriétaires y ont déjà pris place ou les obligent à rester debout alors qu'il y a des places assises vides.
Les employées de maison en question ont manifesté sur la voie publique et révélé les motifs avancés par les propriétaires pour mettre en place une aussi humiliante discrimination : elles parlent trop et elles transpirent, donc sentent mauvais...
Hier, seul Página/12 rapportait ces faits stupéfiants. Aujourd'hui, Clarín s'en fait aussi l'écho, tout en citant les explications du syndic du quartier privé qui déclare avoir appris les choses par la presse et se dit scandalisé par ces mauvaises manières de certains de ses mandataires.
Daniel Paz et Rudy en ont fait le sujet de leur vignette d'aujourd'hui :