Les Animaux fantastiques : Les Crimes de Grindelwald est enfin sorti au cinéma. Le premier opus m’avait plu mais cumulait tout de même beaucoup de défauts (lire ma critique), je n’attendais donc pas vraiment grand chose de ce second film. Je l’attendais avec moins d’impatience. J’y suis donc allée en ayant vu la bande-annonce une seule fois. Pour un samedi matin à 9h30 la salle était plutôt bien remplie.
1927. Quelques mois après sa capture, le célèbre sorcier Gellert Grindelwald s’évade comme il l’avait promis et de façon spectaculaire. Réunissant de plus en plus de partisans, il est à l’origine d’attaque d’humains normaux par des sorciers et seul celui qu’il considérait autrefois comme un ami, Albus Dumbledore, semble capable de l’arrêter. Mais Dumbledore va devoir faire appel au seul sorcier ayant déjoué les plans de Grindelwald auparavant : son ancien élève Norbert Dragonneau. L’aventure qui les attend réunit Norbert avec Tina, Queenie et Jacob, mais cette mission va également tester la loyauté de chacun face aux nouveaux dangers qui se dressent sur leur chemin, dans un monde magique plus dangereux et divisé que jamais.
La réalisation de David Yates reste classique mais du coup donne une bonne homogénéité avec les précédents films d’Harry Potter. Ce petit côté sombre et adulte qu’il donne à ces histoires de sorciers est appréciable.
On retrouve des personnages que l’on a pu voir dans Harry Potter comme Dumbledor ou Nagiri. C’est l’occasion d’en savoir plus sur leur passé. Le choix de garder Johnny Depp est parfait car son personnage on n’a pas envie de l’aimer, ça tombe bien. Jude Law est parfait en Dumbledor.
J’ai passé un excellent moment devant Les Animaux fantastiques : Les Crimes de Grindelwald. Je l’ai trouvé mieux que le précédent, plus rythmé doté d’un scénario prenant qui ne vous lâche pas jusqu’à la toute dernière image. Bref, j’attends le 3e avec impatience !