J'ai découvert lors d'un nouveau rond de ronde, dans le fond du parc de la clinique, cette mystérieuse statue, empêtrée dans un amas de broussailles épineuses. Le château datant du début du 19 ème siècle, je me demande combien de générations de petits châtelains toulousains en crinolines et redingote elle a vu passer et gambader dans le parc, du haut de son socle. L'abri des chênes multi-centenaires n'y a rien fait, elle n'est plus que la moitié d'elle-même...
Objectif de la semaine prochaine : arriver à franchir cette barrière de barbelés naturels, mauvaise herbe parmi les mauvaises herbes, en quête d'un indice, d'une inscription, pour percer peut-être le mystère de la statue sans tête !