Dans les 48 heures suivant les résultats, il a viré un homme qui n'a fait que son travail, mais qui représentait la loi, et la loi est toujours un obstacle aux tyrans. Puis, il a banni un journaliste, Jim Acosta, de la Maison-Blanche. Dans une geste, entre ce qu'aurait commis Josef Staline et un autre qu'aurait commis Kim Jong-Un, il a fait retirer l'acréditation et l'accès au journaliste de CNN, à la Maison-Blanche.
Dans le dernier
Le journaliste a précisé, quand Donald a dit qu'il ne démonisait personne et qu'il voulait que ces gens viennent au pays (mais légalement) que ces gens étaient pourtant tellement loin des États-Unis en ce moment. Ce à quoi Trump a parlé par dessus en disant "Laissez moi mener mon pays, vous vous occuper de CNN et si vous le faisiez mieux, vous auriez de bien meilleures cotes d'écoute." Il a mentalement changé d'interlocuteur et a joint la pensée au geste en dirigeant son attention ailleurs. Acosta a insisté pour lui poser une autre question, ce à quoi Adolf Trump a dit que c'était assez.
Sur ce, la stagiaire, qui ne pouvait pas être bouboule ou même un simple garçon, s'est levée pour enlever le micro à celui qui parlait. Qui n'a pas voulu rendre le micro tout de suite, après tout, il parlait et non seulement on lui coupait la parole en insultant pour rien ceux qui l'engagent, mais en plus, il avait d'autres questions, probablement aussi pertinentes, en banque.
La stagiaire avait la pire tâche au monde.
"Brad tu t'occuperas des cafés"
"Charlie, tu t'occupes des dossiers de presse"
"Kathy, tu détruis le premier amendement publiquement"
"N'oubliez pas, ça vous donnera des crédits collégiaux."
Quand ils ont révoqué sa carte de presse et son accès à la Maison-Blanche, tout le monde a aussitôt pensé: " Oh non! comment n'aura-t-il aucune réponse à ses pertinentes questions maintenant?"
"Il ne pourra jamais plus être inutilement insulté?"
Les gens ont vivement été outré par ce type de censure sans subtilité, mais la représentante de la Maison-Blanche, Sandra Huckabee Sanders, a trouvé du bon, et a pris la défense de la pire tâche de stagiaire au monde.
Usant de la (sale) politique du tweet, elle a dit que le
On croyait soudainement à un tonnerre ou à un début de tremblement de terre. Mais non, c'était la twitosphère qui huait le gazouillis de Miss Sanders Huckabee en le lisant.
Elle incluait, avec son
Ce serait terrible si c'était vrai. Mais le clip qui accompagnait le
C'était du faux.
Le document altéré semble avoir comme origine le site conspirationiste de la droite alternative Infowars.
Si vous n'êtes pas familier avec le site Infowars.com, félicitations, on peut s'échanger nos cerveaux?
Infowars est un site de débilités fondé et piloté par le brasseur de merde, semeur de fiel et saucisse que vous avez oublié de percer avant de la mettre au micro-ondes, Alex Jones (rendez-vous à la 4ème minute: malade!).
C'est LA source fiable du gouvernement des États-Unis.
Vous croyez qu'on va croire CNN alors qu'on peut facilement croire davantage un site qui dit que les familles et les enfants traumatisés du massacre de Sandy Hook étaient des comédiens?
Un site qui dit que les pailles aux États-Unis sont trafiquées afin de faire de nos enfants des homosexuels?
Soyons sérieux! Vous voyez bien qui fait du sens des deux sources! Dit la patiente au docteur.
Le simple fait qu'une représentante de la Maison Blanche puisse faire la promotion d'un tel vidéo est largement répréhensible, risible, ridicule, et matière à congédiement.
Ou comme on appelle dans l'administration Trump:
Un simple jeudi comme les autres.