Lorsque le président Macron s’engage pour la réhabilitation du Maréchal Pétain, il fait tout à la fois œuvre de pédagogie pour le plus grand nombre et de résistance contre les ravages de la bien-pensance.
Tout comme notre président, le maréchal Pétain a fait fi du romantisme exacerbé des extrêmes gauchistes qui se complaisaient dans l’imaginaire juvénile et dangereux d’une pseudo résistance. Il a su faire preuve de pragmatisme et de réel courage politique.
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Gens de rien participant au principe de réalité et de responsabilisation des sous-fifres
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Gens de rien participant au principe de réalité et de responsabilisation des sous-fifres
De pragmatisme, parce qu’il avait pris la mesure non pas tant de la défaite de l’armée française que de la puissance du nouvel empire naissant.
De courage politique, surtout, car le vrai courage ne consiste pas à refuser l’inéluctabilité du pouvoir du plus fort, mais bien de savoir sauver l’essentiel et d’avoir la grandeur de se mettre à genoux devant le vainqueur.
Cette puissance de l’acceptation et du réalisme politique, le président Macron en a pris la pleine mesure depuis son accession aux plus hautes responsabilités nationales. Il sait bien qu’il est vain et infantile de nier plus longtemps la victoire écrasante des puissances de l’argent sur le monde global. Il sait que la raison ordonne la collaboration avec les puissants de ce monde et que l’insoumission se paiera cher.
Tout comme son illustre prédécesseur, le président Emmanuel Macron fait preuve de sa grandeur et de son courage en refusant la fuite en avant dans des causes perdues et en acceptant de sacrifier les derniers de cordée comme prix de l’intégration de la nation dans le nouvel ordre mondial.
C’est donc bien à dessein qu’il remet au gout du jour ce grand homme incompris et qu’il rappelle ainsi à tous que les peuples vaincus ont les chefs qu’ils méritent.