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Comment séduire ? 3 améliorations que tout homme devrait faire sur soi

Publié le 07 novembre 2018 par Chrisandflow

Tout le monde, c’est vrai, ne peut pas devenir un « super dragueur » capable de séduire des dizaines de femmes chaque année. Cette catégorie est réservée à une fraction d’hommes — les plus doués, persistants et/ou dévoués.

En revanche, tout le monde peut atteindre des résultats au moins honorables en séduction s’il s’en donne la peine. J’en suis convaincu.

Si vous avez un objectif « modeste », comme vous mettre en couple avec une fille qui vous plaît dans les 3 à 6 prochains mois, vous pouvez y arriver en faisant le travail sur vous-même (et non sur votre « Game ») qu’il faut.

Il est possible que ce soit moins alléchant que les tas de promesses faites par certains « gourous » du « Game », qui cherchent à vous enjôler avec des titres ronflants comme « séduire n’importe quelle fille que vous désirez » ou « Coucher avec une montagne de bombes sexuelles » (j’exagère à peine…).

Mais c’est 100 fois mieux de partir sur un objectif réaliste que de rêver trop grand, en négligeant les objectifs à votre portée.

Un objectif « modeste » peut tout à fait vous satisfaire. Peut-être davantage que de devenir le prochain « PUA » que la communauté admire, avec un palmarès long comme le bras. Et rien ne vous empêche de viser plus haut après l’avoir atteint.

Voici donc ce que je vous propose dans cet article (ainsi que dans l’intégralité de mon blog) :

  • Si vous voulez obtenir l’impossible — exemple : vous transformer en GRAND séducteur dans les 3 prochaines semaines, séduire CETTE fille qui vous a mis dans la friendzone, etc. —, je ne ferai rien pour vous.

Je ne suis pas magicien ! Seulement un type normal, honnête, expérimenté, qui obtient vraiment de bons résultats, et plutôt doué pour expliquer ce qui marche ou ne marche pas.

Si ça ne vous suffit pas, vous pouvez aller voir ailleurs.

  • En revanche, si vous désirez atteindre un objectif réaliste (au moins pour commencer), alors je peux vous aider.

C’est ce que je vais faire dans cet article, en vous donnant les 3 travaux essentiels que vous devez sur vous-mêmes dans l’optique de séduire des femmes.

Je ne garantis pas qu’en travaillant sur ces 3 axes vous deviendrez LE dragueur extra efficace que certains vous promettent de devenir (malheureusement toutes les chenilles ne se transforment pas des papillons).

Par contre, si vous suivez mes recommandations, vous serez capable :

  1. D’attirer naturellement un bon nombre de filles (beaucoup) plus important.
  2. D’augmenter l’intérêt des filles initialement attirées par vous, simplement en interagissant avec elles (aucune technique farfelue à faire).
  3. De conclure avec une partie des filles qui s’intéresseront à vous.

Pas avec 100% d’entre elles (c’est impossible, sauf peut-être pour certaines stars du ciné ou de la chanson.)

Peut-être pas 50%…

Mais assez pour sortir du célibat sans passer par la fameuse « lonnnngue traversée du désert » entre votre dernière rupture et votre prochaine copine.

Si vous êtes prêt, allons-y !

1) Créer l’intérêt initial : améliorer votre image

Quand on part de zéro, il y a mieux à faire qu’apprendre la pléthore de techniques sur l’approche et l’attraction. Soigner votre image est (probablement) votre priorité.

Par « Image », j’entends : la manière dont les autres vous perçoivent.

Je sais… beaucoup de coachs arguent que « l’apparence ne compte pas », ou du moins qu’elle n’est pas si importante pour séduire.

Ce qu’il faut savoir, c’est qu’il s’agit d’un sujet délicat, voire gênant, pour qui veut gagner sa vie en vendant des produits/services relatifs à la séduction.

  1. S’ils évitent d’aborder ce sujet, ils laissent penser que ça n’a aucune d’importance ou presque, que tout est une question de techniques ou d’attitude.
  2. Mais d’un autre côté, s’ils donnent à l’apparence l’importance qu’elle mérite dans le processus de séduction, ils risquent de décourager les débutants (donc la plupart de leurs clients potentiels), puisque la majorité d’entre eux ont une mauvaise perception d’eux-mêmes.

Ils ne se trouvent pas attirants et pensent que leur apparence n’est pas améliorable (une croyance limitante rependue). C’est pourquoi les techniques d’attraction verbales et l’approche indirecte sont si populaires auprès d’eux.

Alors certains coachs ne préfèrent pas prendre de risque :  ils optent pour la première solution, quitte à laisser entendre à leurs clients qu’ils peuvent rester obèses et continuer à se fringuer comme au collègue…

Pire encore : certains affirment que l’apparence n’a aucune importance. Pas très sincère, mais ça évite les résistances à l’achat !

C’est vrai qu’un titre comme « Séduisez la femme qui vous plaît même si vous êtes moche et timide » est TRÈS racoleur. Surtout pour les hommes qui pensent que leur apparence est, et restera à tout jamais, leur gros défaut.

Mais soyons lucides : la première cause du manque de succès auprès des femmes est moins ce que vous dites ou faites que l’image que vous projetez.

Si vous projetez une image repoussante, parce que vous êtes mal habillé, en surpoids ou autre, vous ne susciterez jamais assez d’intérêt pour que les femmes prêtent attention à vous (et à votre charme).

Au contraire, si l’apparence n’avait aucune espèce d’importance, la plupart des beaux gosses et des mecs branchés que vous connaissez auraient autant de difficultés que les autres à plaire aux filles. Or, depuis l’adolescence, ce sont principalement eux qui décrochent le plus de succès avec les filles.

Retenez bien : la première impression NON-VERBALE compte !

Peu importe à quoi vous ressemblez actuellement, l’un de vos objectifs majeurs pour séduire est d’optimiser votre apparence.

Vous ne « vaudrez » sans doute jamais 10/10 (comme environ 99% des autres hommes, moi inclus), mais ce n’est pas une raison pour se lamenter. Rien qu’en gagnant 2 ou 3 points sur l’échelle d’attractivité fera une GROSSE différence. Et contrairement à ce qu’on peut croire, c’est assez facile de les obtenir.

Une apparence négligée est DLV (demonstration low value)

Le plus souvent, le désintérêt initial des femmes n’est pas causé par votre personnalité — « pas assez cocky/alpha/whatever ». Ni par votre beauté physique d’ailleurs.

Il est juste provoqué par la négligence que votre apparence témoigne.

Ce que l’on communique non-verbalement est plus éloquent que n’importe quel storytelling. De fait, avoir une apparence négligée revient à crier haut et fort : « je suis un gros loser ! »

Si vous êtes mal habillé, mal coiffé, obèse ou chétif, boutonneux, etc., vous faites passer des messages qui sont peu élogieux à votre égard.

  • Vous « dites » que ne vous aimez pas vous-même !
  • Vous « dites » que vous ne plaisez pas aux femmes.
  • Vous « dites » vous êtes un gars insipide.

Avant de mémoriser des « histoires » ou autres techniques pour sous-communiquer des qualités attirantes, commencez par la base : ce que votre image « dit » de vous dans les premières secondes.

Faites votre Audit

1. Vos fringues.

La première chose à faire est de changer votre garde-robe.

Combien de types portent de vêtements trop grands, usés, démodés ?

Ceux-là, on ne les voit pas main dans la main avec une jolie fille (à l’exception peut-être d’une fille du tiers-monde). Ce n’est pas par hasard.

Vous devez porter des fringues :

  1. À votre taille. Les hommes que je rencontre en coaching ont tendance à s’habiller une ou deux tailles au-dessus.
  2. Relativement neufs. Pas de trous, pas de couleurs délavées ou autres traces d’usure.
  3. À la mode. Beaucoup d’hommes gardent les mêmes habitudes vestimentaires depuis le collège ou lycée. Si cela pose peu de problèmes lorsqu’ils sont encore jeunes, ils finissent par avoir l’air de vieux ringards après 26 ans — la mode évoluant très vite.

2. Votre silhouette.

Suivant l’ampleur, le surpoids peut être un handicap plus dur à compenser qu’avoir de mauvaises fringues.

À de rares exceptions, les femmes aiment leurs hommes à la silhouette athlétiques. C’est gage d’un bon patrimoine génétique et d’une bonne santé.

Évidemment, si on les interroge sur ce qu’elles préfèrent chez un homme, la majorité répondra « l’humour », « la gentillesse » ou « l’intelligence ». Ce sont des réponses socialement conditionnées. Elles disent ce que l’Honorable société veut entendre.

Néanmoins, en vous forgeant un corps athlétique, comme celui de Cristiano Ronaldo ou Zack Efron, vous serez surpris du nombre de femmes vous trouveront plus drôle, intelligent et gentil qu’auparavant. Ou du moins elles remarqueront plus facilement ces qualités chez vous que chez un homme en surpoids ou chétif — peut-être parce qu’au fond, ce n’est ce qui les attire vraiment ?…

3. Votre coiffure & barbe.

Avec les vêtements et la silhouette, la coiffure et la barbe sont les premiers éléments qu’on remarque chez une personne soignée ou négligée.

Pour vos cheveux et votre barbe, trouvez-vous un bon style. Quitte à aller une fois chez un excellent coiffeur-visagiste et y mettre le prix. Vous pourrez toujours retourner chez un coiffeur bon marché plus tard, pour qu’il reproduise la même coupe/barbe.

Puis entretenez le tout :

  • Une fois par mois pour les cheveux.
  • Une à deux fois par semaine pour la barbe, selon le type de barbe.

Si vous avez une calvitie ?

Si vous avez la calvitie, ne laissez pas un trou béant au-dessus de la tête, en plein milieu d’une touffe de cheveux. C’est encore plus ringard qu’une grosse moustache !

Envisagez l’une des 4 solutions suivantes :

  • Rasez-vous complètement.

C’est ce que je fais depuis quelques années, depuis de mon alopécie a commencée à poindre.

C’est simple, rapide et économique : une tondeuse, 10 minutes dans la salle de bain et le tour est joué. Ensuite on laisse 4-7 jours passés et on le fait à nouveau.

Le souci de la « boule à zéro », c’est qu’elle ne va pas à tout le monde.

Si vous avez la forme du visage adéquate, ça peut vous aller comme un gant. Et même vous rendre plus viril (= attirant).

En revanche, si vous avez un visage joufflu et/ou une petite mâchoire le résultat risque de pas être très beau à voir. Dans ce cas, mieux vaut envisager une autre option.

  • Spray densifiant.

Je n’en ai jamais utilisé, mais j’ai pu voir ça pouvait faire des miracles sur quelques-uns de mes amis tant que la calvitie n’est pas trop avancée.

Les avantages : c’est relativement bon marché et rapide. Un coup de spray et vos cheveux sont comme neufs !

Les inconvénients :

  1. Si vous êtes encore jeune vous ne pouvez envisager cette solution que comme temporaire, car au fil des ans votre calvitie risque de s’aggraver, et elle pourrait ne plus suffire.
  2. Possiblement néfaste pour la santé. Si vous faites partie de ceux qui sont très soucieux de leur santé et scrutent attentivement tous les composés présents dans les shampoings, dentifrices ou boites de conserve, vous risquez de ne pas être emballé par la composition d’un produit comme celui-ci…
  • Les prothèses capillaires

Le principe est simple : vous prenez rendez-vous chez un coiffeur qui offre ce service, celui-ci vous colle la prothèse sur la tête puis vous coiffe. Ensuite, vous pourrez la garder entre un et trois mois et (en théorie) faire presque n’importe quoi avec, y compris dormir avec ou aller à la piscine sans qu’elle se décolle.

Ce n’est donc beaucoup mieux qu’une simple « moumoute » à l’ancienne, qui peut partir au moindre coup de vent.

D’après mes infos, une prothèse capillaire coûte une petite fortune, entre sa fabrication, son entretien et sa pose. Aussi, les gens peuvent remarquer qu’il s’agit d’une prothèse et non de vrais cheveux, à condition d’être très près et de bien observer.

L’avantage, c’est que même si vous avez une calvitie avancée vous pouvez avoir garder coiffure qui vous met en valeur et paraître une paire d’années plus jeune.

  • Implants.

La dernière solution envisageable est de faire une opération chirurgicale visant à vous implanter de nouveaux cheveux.

L’avantage de cette opération c’est qu’une fois qu’elle est faite, que la cicatrisation est terminée et que vos « nouveaux » cheveux ont repoussé, vous pouvez dire au revoir à votre calvitie, ou presque… Puisqu’apparemment une nouvelle opération peut être requise plus tard, si vous continuez à perdre vos cheveux.

En effet, même si vos « nouveaux » cheveux vont repousser, une partie de vos cheveux « d’origine » risquent quant à eux de partir et vous laisser des trous visibles plusieurs années après l’opération.

Mais l’inconvénient majeur de cette solution, c’est prix : comptez plusieurs milliers d’euros au minimum, suivant l’ampleur de votre calvitie. Un sacré investissement qui n’est pas remboursé par la sécu.

4. Les dents.

Ça peut sembler être un détail, mais les dents sont un élément important de votre image.

Si avoir un sourire bright parfait est loin d’être obligatoire, l’inverse — les dents pourries ou jaunes, un diastème trop large ou un sourire à moitié-édenté —, est disqualifiant pour beaucoup de femmes (tout comme ça peut l’être pour nous).

Si c’est votre cas, vous feriez mieux de prendre rendez-vous chez le dentiste pour qu’il vous arrange ça.

Meilleure image = Meilleure impression

Imaginez deux restaurants côte à côte, avec exactement le même menu mais un décor différent.

  • Le premier est attirant : propre, moderne, flambant neuf.
  • Le second ressemble à une vieille gargote minable.

Dans lequel préfériez-vous manger ?

Le premier, évidemment. Parce que, même si le décor du restaurant n’a pas nécessairement de rapport avec la nourriture qu’on y mange, vous penserez que vous y serez mieux servi. Le second, vous n’y seriez peut-être même pas aller, même si vous n’aviez que ce choix…

Maintenant disons que le second fait des plats vraiment excellents, de loin meilleur au premier, mais vous ne le savez pas.

Est-ce que cela va changer quelque chose ? Non. Tant qu’il renvoie une image aussi négligée, vous n’aurez aucune envie d’aller l’essayer. Vous préférez la bouffe moyenne du beau restaurant.

C’est à peu près la même chose en séduction.

Peut-être que vous avez un tas de qualités attirantes qui plaisent potentiellement aux femmes. Mais si vous ne donnez pas immédiatement envie aux femmes de les évaluer, elles passeront tout à fait inaperçues.

En plus d’être une qualité qui est attirante en soi, c’est aussi en cela que l’image aide.

Dégager une bonne image accroît vos chances de faire bonne impression initiale, donc de susciter de l’intérêt immédiat.

Et quand vous démarrez une conversation avec une inconnue, il vous faut de l’intérêt tout de suite. Pas dans 5 minutes, ni même dans une seule. Tout de suite !

Parce que quand une femme n’a pas envie de vous parler dès les premières secondes, c’est généralement très, très difficile de lui faire changer d’avis.

L’issue de la rencontre ne se joue peut-être pas uniquement là-dessus, mais plus vous suscitez d’intérêt initial au tout début, meilleures sont vos opportunités de séduire ensuite.

Est-ce qu’il faut être particulièrement beau pour ça ? Non.

La plupart des bons dragueurs que je connais ne sont pas particulièrement beaux. Mais ils sont en forme, bien habillés, et rayonnent d’assurance et de sympathie. Ça suffit qu’une bonne partie des femmes leur laisse une occasion de les séduire.

Votre image est améliorable

J’en ai marre des gars qui se plaignent que les femmes ne les trouvent pas assez attirants, mais qui ne font rien pour que ça change !

Si quelqu’un ne veut faire aucun effort, c’est son choix. Mais alors qu’il ne se plaigne pas si les femmes préfèrent les hommes qui font 6 heures de sport par semaine, mangent sainement, s’habillent bien et prennent soin d’eux !

En dépit de ce qu’on pense, il y a une logique. Les hommes et les femmes qui ont le plus investi dans leurs attractivités sont généralement ceux qui attirent le plus.

Une femme qui a appris à bien se maquiller, bien s’habiller, qui dépense une fortune tous les mois pour sa coiffure et ses divers soins n’aura aucune difficulté pour trouver des hommes intéressés par elles. Pas besoin d’avoir été élue Miss Monde.

Il en va de même pour les hommes. Avoir une image attirante, ça s’apprend et ça se travaille !

Et non : ce n’est pas qu’une question attraits génétiques ! Certes, ça aide, mais ce serait une erreur d’en faire la seule définition du mot « Image ».

L’image est une notion bien plus large, avec un tas d’autres facteurs qui entrent en compte et qui dépendent entièrement de ce que vous décidez de faire ou ne pas faire au quotidien.

Le look.

Si demain vous décidez de changer radicalement de look, votre image (= la manière dont les autres vous perçoivent) va aussi changer.

Un exemple qui me vient en tête est une scène de la série « How I Met Your Mother », quand Barney Stinson troque son style « babacool » pour le costard cravate.

Il y a aussi l’exemple d’Olivia Newton-John (dans le film Grease) dont j’avais parlé dans un article précédent.

Le corps.

Perdre du poids et/ou prendre du muscle peut aussi vous donner une allure très différente.

+ une bonne nouvelle : c’est à la portée de tout le monde !

Voici quelques photos avant/avant plutôt éloquentes d’acteurs :

Connent séduire : Dwayne Johnson avant-après

Connent séduire : Chris Pratt avant-après

Connent séduire : Zack Efron avant-après

Changer son look et/ou son apparence physique demande une certaine quantité d’investissement en temps, argent et efforts. Mais croyez-moi, ça en vaut la peine.

Une meilleure image de vous-même va :

  1. Créer instantanément plus d’attirance chez les femmes.
  2. Vous aider à vous sentir plus attirant.
  3. Faciliter le processus de séduction.

Le seul cas où cela peut ne pas suffire…

Il y a toutefois un cas où, je pense, faire des efforts pour améliorer votre image risque de ne pas suffire : si vous êtes VRAIMENT laid.

Mais je parle ici de personnes avec une malformation génétique, une déformation causée par un accident, des graves problèmes de peau (acnés, psoriasis…), une obésité quasi incurable ou quelque chose du même acabit.

Dans ce cas, même avec de gros efforts vous risqueriez de ne pas dépasser les 2 ou 3/10 d’attractivité, et avoir beaucoup de difficultés à intéresser les femmes.

Cela dit, il y a peu de chance que vous fassiez vraiment partie de cette catégorie. Vous êtes sans doute un mec moyen (4 ou 5/10) qui se trouve laid et/ou qui se rend laid à cause de mauvais choix. Mauvais choix vestimentaire, mauvaise alimentation, aucune activité physique, etc. Comme je l’ai dit plus haut, avec les efforts suffisants vous pouvez assez vite gagner 2-3 points, peut-être plus.

Si vous êtes réellement dans ce cas, le sujet va au-delà de celui de cet article mais vous pouvez peut-être trouver des moyens pour solutionner votre problème d’abord : chirurgie plastique, changement d’alimentation ou de traitement…

2) Adopter les attitudes qui plaisent

La raison pour laquelle vous n’avez pas besoin d’avoir une apparence parfaite, c’est que l’image n’est pas le seul élément qui influe sur l’intérêt des femmes. Votre façon de vous comporter et d’agir peut aussi accroître ou diminuer votre attractivité.

L’image n’est finalement que la première couche de l’attraction. Si un homme a une apparence parfaite mais des attitudes rédhibitoires, tout l’intérêt qu’il aura obtenu au départ va fondre comme neige au soleil.

Un homme « moyen », au contraire, peut rapidement accroître son attirance s’il se comporte comme il le faut.

Pour être plus précis :     

  • L’attirance externe à tendance à être très importante au début.
  • L’attirance interne à tendance à avoir assez peu d’influence sur l’intérêt de début, mais à devenir de plus en plus importante à mesure que vous avancez dans le processus de séduction.

J’ai connu des mecs attirants (extérieurement) qui avaient toutes les peines du monde à conclure, parce que leur façon d’agir avec les femmes était mauvaise.

Une fois que l’excitation d’avoir été abordée par un beau mec redescend — et elle redescend vite ! – l’intérêt des filles peut refroidir s’il ne sait pas si prendre.

C’est ainsi que des mecs très avantagés (grands, beaux, costauds…) peuvent avoir des tas de réactions dithyrambiques au départ, mais aussi d’énormes difficultés à aller au-delà de la discussion cordiale avec les femmes.

L’attraction interne n’est pas binaire !

Vous savez globalement quelles attitudes rebutent les femmes :  être needy, toujours serviable et accommodant, asexué, etc.

Vous connaissez ces mauvaises attitudes parce que vous les avez adoptées à vos dépens par le passé, quand vous n’y connaissiez rien en séduction.

On apprend facilement de ses erreurs.

Le problème, c’est qu’après en avoir pris conscience, vous avez probablement adopté l’attitude opposée.

  • Jouer l’indifférence au lieu d’être needy…
  • Faire le bad boy couillu et arrogant plutôt que de rester nice guy
  • Vous forcer à « sexuer » la conversation en balançant des blagues ou allusions sexuelles toutes les 2 minutes, pour ne pas vous enliser dans une conversion trop cordiale…

Fausse bonne idée !!

Ce n’est pas parce qu’une attitude s’oppose complètement à une autre qu’elle est donne le résultat contraire.

Une de mes plus erreurs

Flash-back en 2006.

Les conseils traditionnels, du moins ce qu’on trouvait à l’époque, avaient tendance à suivre cette logique binaire. Elles incitaient à faire l’opposé de ce qui ne marchait pas.

Alors quand j’ai commencé à lire des blogs et ebooks de séduction, je suis tombé dans le piège :

  • J’ai pris conscience qu’il ne fallait pas être needy (une bonne chose).  Alors je dissimulais mon intérêt en pensant que ça me rendrait plus cool (erreur !)
  • J’ai lu partout que les femmes n’aimaient pas les garçons gentils, qu’elles préféraient les « Bad Boy ». Alors j’ai essayé d’en paraître un, en me donnant des allures de mec sûr de lui-même et arrogant (très mauvaise idée !)
  • J’ai lu que les filles perdaient de l’intérêt pour les mecs qui les draguaient — c’était ce qu’affirmaient les adeptes de l’indirect game. Alors ma seule stratégie était de me « Prizer » en inversant les rôles, dans espoir que les filles escaladeraient à ma place (ce qui n’est jamais arrivé), ou au moins qu’elles me tendraient une grosse perche (ce qui a rarement été le cas).

Je dois aussi avouer qu’adopter ces attitudes-là m’arrangeaient : elles m’évitaient de prendre de vrais risques.

On ne peut pas vraiment se faire « officiellement » rejeter par une fille si on ne lui témoigne aucun intérêt — que ce soit verbalement (opener direct) ou non-verbalement (escalade). Même si la fille réagit mal quand on l’aborde, on peut toujours prétendre qu’on sociabilisait.

Mais en matière de résultat, faire l’opposé de ce qu’il ne fallait pas faire ne m’a presque rien apporté.

Agir ainsi m’a fait foirer bien plus de rencontres qu’elle ne m’a permis d’en conclure.

  • Jouer au mec désintéressé incitait seulement les filles a être indifférentes elles aussi.
  • En voulant me montrer excessivement couillu et sûr de moi-même, je devenais antipathique, et j’avais la sensation de ne pas être moi
  • En faisant du Prizing, parce que j’avais peur de perdre de l’attirance en escaladant, je n’avançais jamais. Je restais dans une sorte de phase d’attraction sans fin.

J’agissais complémentèrent différemment après avoir découvert le « Game », mais le problème de fond restait identique : je n’adoptais pas les bonnes attitudes pour séduire.

Heureusement, j’ai pris conscience de cette erreur.

Ni Needy, ni indifférent

Ni needy ni indifférent. Soyez détaché du résultat.

Assumez que vous la trouvez attirante, et n’ayez pas peur qu’elle le remarque. Mais faites-lui sentir que s’il n’y a pas un minimum de réciprocité vous n’hésitez pas à la « Nexter ». Vous ne ressentez pas le besoin de lui plaire ou de la séduire à tout prix.

Croyez-moi :

  • Les femmes s’intéressent aux hommes qui s’intéressent à elles, surtout ceux qu’elles trouvent attirants de prime abord. Et quoi qu’il en soit, si elles ne vous trouvent pas assez attirant dissimuler votre intérêt ne les rendra pas miraculeusement plus attirées. Vous n’avez rien à perdre.
  • Elles savent faire la différence entre un gars intéressé mais needy et intéressé mais détaché. Si vous savez comment démontrer votre intérêt, sans nervosité ni lourdeur (ce que très peu d’hommes savent faire), elles vous percevront comme plus confiant et expérimenté que la moyenne.

Non seulement être détaché du résultat sous-communique un tas de bonnes choses — vous avez d’autres options ou pouvez en avoir facilement ; vous n’êtes pas « acquis » : elle doit faire sa part du boulot —, mais c’est aussi une aptitude importante à acquérir pour séduire (pas seulement à feindre).

Le détachement est ce qui vous permet de garder votre sang-froid et votre lucidité durant le processus de séduction. C’est l’une des meilleures qualités d’un séducteur.

Trop de novices s’emballent ou se découragent pour un rien. Cela leur cause beaucoup de tort.

Nice Guy, mais pas que…

L’an dernier j’ai lu un bouquin intéressant : « Donnant-Donnant » d’Adam Grant.

Il s’agit d’une étude qui compare la réussite des individus dans le monde des affaires en fonction de leur attitude vis-à-vis d’autrui.

La problématique du livre est celle-ci : la sympathie est-elle un facteur d’échec ou de réussite dans les affaires ?

De ce livre, on peut en tirer un constat : les gens sympas occupent à la fois le bas et le haut du classement.

Autrement dit, la gentillesse est à double tranchant.

  • Soit c’est un handicap, parce les types sont si « sympa » qu’ils ne parviennent pas défendre leurs intérêts et se font marcher dessus.
  • Soit c’est un atout, parce qu’elle établit une excellente réputation et un rapport de confiance très fort.

Voilà la nuance : certaines personnes sont gentilles, agréables et serviables par faiblesse. Cette attitude leur permet de fuir tout risque de confrontation, de conflit, ou de jugement négatif de la part d’autrui.

Forcément, quand on est toujours gentil et d’accord avec tout le monde, on se retrouve rarement dans ce genre de situations.

Le revers de la médaille, c’est qu’il est difficile de défendre ses intérêts quand on a peur de la confrontation et du rejet. Alors on est le mec « trop bon trop con ! »

Cela dit, on peut tout à fait être quelqu’un de sympa sans avoir peur de déplaire ou d’entrer en confrontation avec autrui si nécessaire.

On peut même voir une forme de bienveillance à refuser quelque chose à quelqu’un, ou à vouloir qu’il s’investisse (financièrement ou émotionnellement).

Dans ce cas, être sympa peut devenir une force.

Séduction = Négociation

J’ai fait exactement le même constat avec la séduction.

Bien avant de lire cette étude, je l’avais décrit dans mon livre Drague Minimaliste.

On connaît tous ces idées reçues :

  • Nice Guy Finish Last !
  • Les mecs machos/bad boy plaisent aux femmes

Mais en vérité, c’est un peu plus compliqué que ça.

Effectivement, ceux qu’on qualifie de « connards » ont des avantages sur les gentils.

Ils se fichent pas mal de faire souffrir les filles, de mentir et manipuler pour parvenir à leur fin.

Aussi, ils cherchent généralement le sexe sans lendemain et n’ont cure de l’affection féminine. Cela les rend moins prompts à rechercher la validation et à avoir peur de déplaire. Ils ont aussi une présence plus sexuée et escaladent facilement. Ce sont de sacrés avantages.

Mais être un mec sympa a aussi avoir des avantages.

Les femmes ne couchent pas forcément avec le mec qu’elles trouvent le plus attirant – le plus « Alpha », le sexué, le plus intéressant d’entre tous.

Elles couchent avec le mec qu’elles trouvent le plus attirant parmi ceux qu’elles jugent sécurisants pour elles.

Comme tout le monde, elles ont des craintes :

  • Elles ont peur de s’attacher à un homme qui ne les respectera pas, et qui risque de les faire souffrir.
  • Elles ont peur de coucher avec un homme qui puisse ternir leur réputation, en contant ses exploits sexuels à qui veut l’entendre.
  • Elles ont peur d’être prises pour des « putes ».
  • Elles ont peur des mecs trop agressifs, qui pourraient se montrer violents ou les violer.

En d’autres termes, les femmes ne veulent pas seulement coucher avec un type attirant. Elles veulent aussi être respectées, préserver leur bonne image sociale, se sentir appréciées et en confiance. Ces désirs entrent en conflit.

Alors, elles choisiront le compromis : un homme suffisamment attirant qui les rassure.

C’est pourquoi le mec sympa, avec une bonne image, détaché du résultat, sexué et capable d’escalader a ENCORE PLUS de chances de les séduire.

Imaginez qu’un mec se ramène avec une « bonne affaire » à vous proposer. Peu importe à quel point cette affaire à l’air bonne, si vous n’avez pas assez confiance en lui vous préférerez vous abstenir plutôt que de prendre le risque de vous faire arnaquer.  N’est pas ? Parce que si vous vous faites avoir : (1) vous allez perdre de l’argent et (2) vous allez sentir complètement humilié par ce type. C’est à peu près la même logique.

Le meilleur séducteur est un mec sympa !

Quelques noms à la dérobée : Georges Clooney, Will Smith, Chris Hemsworth, Idriss Elba.

Allez sur Youtube et regardez quelques-uns de leurs interviews. Ces types dégagent une telle sympathie qu’on leur donnerait le bon Dieu sans confession.

En même temps :

  • Ils sont bien habillés, virils, élégants, en bonne forme physique.
  • Ils ont du charisme, de l’assurance.
  • Probablement qu’ils sont détachés du résultat avec les femmes, qu’ils ont assez de caractère pour ne pas se laisser marcher sur les pieds.

En bref, sans se donner des allures de mauvais garçons, ils sont très attirants. J’irai même jusqu’à dire que leur « Aura » sympathique leur confère encore plus de facilité à plaire aux femmes.

Pourquoi : parce que séduire ce n’est pas seulement susciter du désir chez une femme, c’est aussi lui donner envie de concrétiser ce désir !

Un homme arrogant et rustre peut susciter du désir, mais aussi de la résistance. C’est un défaut qu’un mec humble et chaleureux n’a pas.

Pourquoi est-il plus difficile de séduire une fille dans la rue que dans votre cercle social à votre avis ? Ce n’est pas parce que vous êtes moins attirant dans ce contexte (au contraire, si vous draguez bien vous le serez plus encore !). C’est parce que vous êtes un parfait inconnu, et ça vous rend moins rassurant.

Si une fille vous trouve sympa, vous gagnerez des points de confiance supplémentaires. Et si elle est déjà attirée, ils vous aideront davantage à conclure que n’importe quel point d’attraction en plus.

Qu’est-ce que les femmes préfèrent ?

Oublions les noms célèbres, concentrons-nous sur l’attitude.

Pensez-vous qu’une femme préférera se laisser séduire par :

  1. Un homme rassurant ?
  2. Un homme antipathique ?

En règle générale, elle fera le choix #1.

Bien sûr qu’il y a des exceptions :

  • Elles peuvent se foutre du mec avec qui elle couche parce qu’elles sont en vacances à l’étranger pour une courte durée, ou complètement bourrées en boite de nuit.
  • Certaines LSE préfèrent les types qui n’ont aucun respect pour elles, voire qui les humilient.
  • Elles peuvent être elles-mêmes très antipathique, dans ce cas qui se ressemble s’assemble.

Mais, la plupart des femmes « normales » seront plus compliantes avec un mec rassurant, et cela même s’il est moins attirant.

Bonne nouvelle : la sympathie est la meilleure technique pour créer du rapport et de la confiance. 

C’est vrai en séduction, comme en business, comme dans les rapports humains en général.

Juste : veillez à ce que « sympa » ne devienne pas synonyme de « couillon » !

Être direct : oui, mais pas trop…

Parce que le monde n’est pas un casting de J&M mon ami — Kaliego.

Certains arguent que le « secret » pour séduire les femmes est d’être très direct et sexuel — contrairement aux AFC qui, eux, sont indirects et asexués.

Cela se traduit par des conseils comme :

  • Verbaliser son désir sexuel tout de suite ;
  • Faire des blagues et allusions de cul en rafale ;
  • Frotter la fille sur le dancefloor ;
  • Faire du Kino agressif.

Encore une fois, ça peut marcher dans quelques contextes, sur quelques filles.

Sur une touriste bourrée dans une boite où l’alcool coule à flots, peut-être… à condition de faire du nombre.

Dans un contexte plus ordinaire sur une fille ordinaire, j’en suis moins convaincu… même en faisant une grosse quantité d’approches.

Le problème de cette approche est qu’elle est bien trop agressive.

J’aime bien faire cette métaphore dans mes coachings : imaginez que les femmes sont des chats sauvages que vous aimeriez caresser.

Avant de pouvoir les apprivoiser et les faire ronronner dans vos bras, il faut d’abord que vous les approchiez lentement et calmement, puis que les habituiez à vos caresses.

Si vous vous approchez en étant trop brusque et/ou trop rapide, elles vont vous montrer les crocs et se tirer.

Bien entendu, ce que j’ai écrit auparavant est toujours valable :

  1. Vous devez être direct, dans une juste mesure.
  2. Plus vous escaladez vite et plus on a de chance de séduire. Mais escalader vite ne signifie pas se précipiter.

En termes d’interaction pure, il me faut généralement entre 2 à 4 heures pour coucher avec une nouvelle fille (rencontre + rendez-vous). Comparé à un type lambda ou même à certains gars qui font des Phone Game->Rendez-vous">Phone Game->Rendez-vous">Phone Game->Rendez-vous">SDL, c’est peu. Mais comme j’escalade avec beaucoup de calme et de subtilité, les femmes n’ont pas l’impression que ça va trop vite.

Il y a un temps pour tout

Il y a en effet un temps où vous devrez devenir sexuel. Ce sera important pour faire grimper l’excitation et aller juste au bout du processus — un peu comme le sprint final au 400 mètres. Mais ce sera très rarement dans les premières minutes de la rencontre.

En général, c’est APRÈS avoir flirté ensemble et commencé à vous embrasser et caresser que vous devrez escalader l’ambiance de l’interaction. Et même à ce moment-là, être trop direct verbalement peut tout faire foirer.

Même si elle en a très envie, une fille peut refuser une offre trop explicite — comme : « Et si on allait baiser chez moi ? ». En revanche, si vous lui dites « J’ai une demi-bouteille de vin au frais chez moi, si on allait la finir ? », la proposition a beaucoup plus de chances d’être acceptée. Comme elle n’est pas explicitement sexuelle, elle est socialement plus acceptable.

Soyez sensuel, mais pas (encore) sexuel

  • Verbaliser son excitation,
  • Faire du sex talk,
  • Attraper ses fesses et les malaxer,
  • L’asseoir sur vos genoux pour lui faire sentir votre érection à travers le pantalon,
  • Etc.

Ce sont des choses que vous pouvez faire à un stade avancé du processus, quand il s’agit d’escalader sexuellement.

À ce moment-là, vous pouvez le faire sans grand risque parce que vous avez fait évoluer l’ambiance de l’interaction et installé une connexion.

Mais avant d’en arriver là, ne soyez pas sexuel. Soyez sensuel !

La différence est dans le degré.

Être sexuel, c’est témoigner ouvertement votre désir — verbalement ou non-verbalement — alors qu’être sensuel c’est suggérer du sexe sans être explicite.

Exemples :

  • La saisir par les hanches et la tirer brutalement vers vous pour lui rouler une pelle : c’est sexuel.
  • Prendre délicatement sa main en regardant silencieusement ses lèvres, c’est sensuel. C’est excitant, mais pas explicitement sexuel.
  • Dire à la fille : « Je suis champion olympique de Cunnilingus. T’as pas idée de tout ce que je sais faire avec ma langue ! »: c’est sexuel.
  • Dire : « Je pourrais te faire d’excellents massages 😉» : c’est sensuel.
  • Offrir d’aller faire l’amour chez vous : c’est sexuel.
  • Proposer de poursuivre la soirée ensemble autour d’une bouteille de vin : c’est sensuel.  

Être sensuel permet de faire grimper subtilement le désir sans éveiller l’ASD.

Ça apporte une frame plus « romantique » à l’interaction, qui rend l’escalade plus socialement acceptable pour elle.

Bien sûr, je ne veux pas dire par là que les femmes n’aiment pas quand un homme se montre sexuel.

Elles aiment ça, mais pas à n’importe quel moment.

Faites d’abord monter l’excitation en douceur et isolez-là. Ensuite vous pourrez vous comporter de manière plus sexuelle avec elle.

Un parallèle avec le sexe

La rapport sensuel-sexuel est comme à celui préliminaire-sexe.

On sait que les femmes aiment le sexe (surtout quand c’est bestial !)

Mais si vous démarrez les ébats amoureux en la culbutant comme une bête, elle risque de ne pas apprécier et de se sentir plus mal à l’aise qu’excitée.

À cela, elle préfèrera que vous passiez par des préliminaires, où vous allez d’abord bien la chauffer, puis faire monter l’intensité crescendo.

Ensuite, quand elle aura atteint un niveau d’excitation et d’immersion suffisant, elle appréciera que vous lui fassiez un tas de trucs cochons.

Ça marche de la même manière pour l’escalade sexuelle.

Être sexuel peut amener la fille au point ou elle n’est plus capable de résister à son désir de coucher avec vous.

Mais si le timing n’est pas bon, elle peut se sentir mal à l’aise et vous repousser, voire vous trouver needy et perdre l’intérêt qu’elle a pour vous.

Du coup la meilleure stratégie à employer est de faire monter son excitation en vous montrant sensuel dans un premier temps :

  • Caresses lentes et douces — le long de la taille, des hanches, des femmes…
  • Baisers langoureux — sur la bouche, le coup, les épaules…
  • Prendre une voix basse et chuchoter à son oreille.
  • L’emmener dans un endroit calme et sombre.

Et lorsqu’elle commencera à se sentir très excitée, vous pourrez commencer à vous montrer plus sexuel.

Avant cela, être agressif sexuellement ne vous aidera pas. Ça peut même vous desservir.

3) Faire disparaître la peur du rejet

Si…

  1. Vous avez relativement bien soigné votre image,
  2. Vous savez quelles attitudes adopter et éviter auprès des femmes,

… alors votre principal obstacle pour séduire s’appelle la peur du rejet.

Cette peur peut prendre différentes formes :

  • Peur de l’approche.
  • Peur de la conversation (= de ne savoir quoi dire, de paraître lourd ou inintéressant quand on parle à la fille).
  • Peur d’escalader (= faire avancer le processus de séduction : lui demander son numéro, lui proposer un rendez-vous, se rapprocher d’elle, l’embrasser…)

Apprendre la théorie avant la pratique : une fausse bonne idée !

Si vous débutez, vous avez sans doute une peur du rejet très élevée.

C’est normal.

Le rejet en drague, c’est comme les coups dans un sport de combat. Personne n’aime ça et tout en a peur au début. Mais il faut s’y accoutumer parce que ça fait partie du jeu.

Certains pensent pouvoir contourner cette peur en apprenant à draguer dans les bouquins…

Ils espèrent qu’à force de collecter des infos sur l’approche, la conversation et tout le reste, ils pourront aller vers les filles un beau jour sans aucune craindre d’être rejeter, et être capables de mener leurs interactions à la perfection.

Ils se mettent le doigt dans l’œil ! Voici pourquoi :

  1. Les compétences de drague s’acquièrent TRÈS principalement par la pratique.

Certes on peut glaner quelques bons conseils çà et là. Mais ce ne sont au mieux que des compléments qui servent à améliorer la pratique. Sans pratique, ces conseils ne servent à rien, et ne résoudront pas votre principal problème : la peur.

  1. L’apprentissage théorique de la séduction est une stratégie de fuite pour beaucoup de débutants.

Ils lisent de la théorie parce qu’ils ont peur. Cela leur donne une bonne excuse pour reporter la pratique à plus tard… Et rester au même point.

Il y a un mot pour ça : la procrastination.

Or, que vous y alliez à l’arrache avec juste un opener en tête, ou que vous y alliez après avoir lu/écouté TOUTES les infos existantes sur le sujet, vous obtiendrez le même résultat au départ :

Vous allez être tellement nerveux que vous ne saurez ni quoi dire ni quoi faire.

Soyez y préparer, parce que c’est EXACTEMENT ce qui se passe pour tout le monde, lorsqu’on n’a pas l’habitude d’interagir sous-pression devant une fille.

Plus on en apprend (sans pratiquer), PIRE C’EST !

Vous pouvez TOUT savoir sur l’approche, ça ne vous empêchera pas d’être de flipper quand vous ferez vos premiers coups d’essai.

Par ailleurs, même si on vous soufflait exactement quoi dire dans une oreillette, ça ne soulagerait pas votre anxiété. Vous aurez quand même peur du rejet.

Savoir quoi dire avant ne change rien, mettez-vous ça dans la tête !

Le pire, c’est que lire tout un tas de choses sur des phases aussi basiques que l’approche ou la conversation vous rendent encore plus nerveux au départ. Ça vous donne l’impression qu’elles sont compliquées et demandent beaucoup d’efforts. Sinon pourquoi y aurait-il autant d’ebooks et de formations dédiés à l’approche ou à l’art d’avoir de la conversation ?

  • Plus vous lisez, plus on vous fournit des détails pseudo-techniques, plus ça vous paraît technique — donc compliqué à réaliser.
  • Plus ça paraît compliqué, plus votre appréhension augmente.

C’est un p*tain de cercle vicieux.

Le far d’eau théorique

Et il y a ENCORE pire !

Comme vous n’avez aucune expérience réelle, vous êtes ignorant, crédule et acceptez tout ce que vous lisez comme des vérités. C’est dangereux.

Parce que, dans l’hypothèse où vous parvenez à vous mettre à la pratique après :

  1. Vous vous sentirez obligés de dire ou faire des choses superflues ou contreproductives, parce que vous penserez qu’elles sont utiles, voire indispensables pour séduire.

Disqualifiants, Contraintes de temps, Cocky & Funny, Prizing, Cold reading et j’en passe. De mes propres yeux j’ai vu des mecs balancer des negs à des filles qui s’arrêtaient avec un grand sourire…

Quand une nana entend « Sympa ta coiffure, tu l’as copié sur Mireille Mathieu ? », inutile de préciser qu’elle ne gardait pas son sourire bien longtemps.

  1. Vous allez avoir peur de faire simple ensuite, parce que vous penserez que les femmes ne peuvent s’intéresser à vous QUE si vous leur sortez la grosse artillerie de techniques.

Par exemple : c’est affolant le nombre d’hommes de la communauté qui n’osent pas poser de question à une fille, parce qu’ils ont lu ou entendu quelque part que c’était une erreur.

À cause de ça, dès qu’ils n’ont plus rien à dire ils se mettent à paniquer et finissent par balancer la première ânerie qui leur vient à l’esprit (souvent une remarque Cocky & Funny  ou du Cold Reading bidon, qui donne l’impression qu’ils forcent le rapport).

A contrario, comme je n’ai pas peur de questionner une femme en face de moi, je ne panique jamais par peur du stall. Je sais que si j’arrive au bout d’une discussion je peux toujours en relancer une autre grâce une question intéressante. Des questions, il y en a des tonnes à poser et ça ne demande aucune transition.

Le bon débutant est minimaliste

Voici la règle si vous débutez : mieux vaut démarrer sans en savoir assez qu’en en sachant trop !
  • D’abord parce que c’est en se confrontant à la réalité du terrain qu’on s’aperçoit si une théorie/stratégie/technique est valide ou non, et quelles sont ses limites.
  • C’est difficile de désapprendre les choses qui ne marchent pas et qu’on a apprises avant de commencer à séduire.

Durant mes coachings, je passe souvent plus de temps à épurer le « Game » de mes clients qu’à leur apprendre de nouvelles techniques et stratégies.

Désapprendre les fausses croyances que le marché de la séduction nous a enseignées n’est pas facile.

Et à vrai, c’est même plus simple d’enseigner la drague à un pur novice qui n’a jamais rien lu sur le net, qu’à un type qui a parcouru tous les blogs et les ebooks mainstream sans jamais pratiquer.

Parce que le second aura souvent plein de blocages EN PLUS :

  1. Il aura l’impression que ce qu’il fait est trop simple,
  2. Il aura du mal à assumer son intérêt de crainte que paraître un « challenge » aux yeux des filles.
  3. Il sera surfocalisé sur la partie verbale de l’interaction, et ressentira le besoin de balancer des techniques d’attract pour plaire aux filles.
  4. Il préférera chercher des prétextes pour escalader.
  5. Etc.

Tout cela à cause de ce qu’il a lu et des fausses croyances qui se sont incrustées dans son esprit.

Le premier, quant à lui, ne se posera pas toutes ces questions parce qu’il n’a jamais appris le « Game ». Il ne « sait » pas que séduire est un processus très compliqué, ni que les femmes détestent les hommes qui s’intéressent à elle, ni que l’attraction est déterminée par le contenu de la conversation.

La peur du rejet d’abord, les compétences ensuite

N’espérez pas d’aller plus vite que la musique. La séduction ne s’apprend pas avant la pratique.

En vous goinfrant maintenant de théories sur Comment séduire, tout ce que vous allez réussir à faire c’est :

  1. Accroître votre peur de passer à l’action.
  2. Ne pas savoir dissocier les bonnes infos des mauvaises, croire à tout ce que vous lisez et vous embrouiller l’esprit.

Alors oubliez la théorie (pour le moment) ! Passez immédiatement à la pratique.

La thérapie d’exposition

Des centaines de programmes, bootcamps et ebooks ont été créés ces dernières années juste pour éradiquer la peur de l’approche sans avoir à pratiquer la séduction.

Peur être que certains d’entre eux aident un peu ?… Mais aucun ne permet vraiment de faire disparaître votre peur de l’approche. Pourquoi ?

C’est parce qu’il n’existe qu’une SEULE méthode pour faire disparaître votre peur du rejet : c’est la thérapie d’exposition.

Vous avez peur d’aborder ?

Allez dans sur le terrain que vous préférez (la rue, les bars, whatever), et exposez-vous au rejet 50 fois !

Je ne plaisante pas.

Si vous avez réussi à survivre à 50 rejets (et il y a de grandes chances que oui), vous aurez appris plusieurs grandes leçons :

  1. Qu’il n’y a pas mort d’homme !
  2. Que ça n’a rien de personnel.
  3. Que ce n’est même pas un jugement sur vos compétences de séduction — souvent les filles réagissent de manière arbitraire ! Elles peuvent vous rejeter parce qu’elles ont passé une mauvaise journée ou parce que vous portez le même blouson que son ex (c’est parfois aussi stupide que ça).
  4. Que c’est un risque qui vaut le coût d’être pris, parce que dans le lot des filles que vous abordez il y a en aura plusieurs qui vous apprécieront et voudront vous rencontrer aussi.

À mon humble avis, une cinquantaine d’approches n’est pas de trop pour ce faire une bonne idée de ce qu’est la drague.

Au début, vous pouvez essayer tous les styles : direct, indirect, situationnel. Très vite vous verrez les VRAIS avantages et les limites de chacun.

Vous verrez aussi si vous êtes « fait » ou non pour ça.

Certains hommes peuvent être séduits par la vision fantasmée que le marché donne de la drague, mais ne pas apprécier la drague telle qu’elle est réellement. Ce serait bête d’investir du temps et de l’argent dans l’apprentissage d’un domaine que vous n’aimez pas.

Allez-y pour tester, pour vous vous défiez, pour vous accommoder au risque.

Vous allez peut avoir l’impression d’être ridicule sur quelques tentatives, mais qu’importe : le ridicule ne tue pas !

Et la beauté de la drague — en dehors de la fac, du boulot ou de son cercle social —, c’est qu’on peut être ridicule 1000 fois, ça n’a aucune espèce d’importance pour la suite. Vous n’aurez probablement jamais à reparler aux filles que vous avez abordées.

La même méthode pour toutes vos peurs

Une fois que vous aurez dépassé la peur d’être rejeté à l’approche, continuez à appliquer la même méthode pour vos autres peurs.

Vous avez peur de mal gérer la conversation ?

La solution : la thérapie d’exposition.

  1. Allez parler aux femmes.
  2. Retrouvez-vous dans ces situations que vous redoutez tant : où vous ne savez plus quoi dire pour enchaîner.

Même si ça risque de vous faire paniquer au début, vous vous rendrez compte que ce n’est pas SI grave de ne rien avoir à dire en face d’une fille.

Vous apprendrez aussi à bien réagir dans ces moments-là :

  • Peut-être qu’en posant une question simple vous arriverez à relancer la plupart des conversations ?
  • Peut-être que ça signifie que c’est le bon moment pour escalader — proposer d’échanger vos numéros ou un rendez-vous instantané ?

En outre : moins vous aurez peur de vous retrouver dans cette situation, moins ça elle arrivera !

Je suis passé par là : l’impression d’être en apnée quand on parle avec une fille ; se mettre pression pour trouver le truc à dire pour garder la dynamique de la discussion et éviter à tout prix les blancs embarrassants…

Mais aujourd’hui, paradoxalement, mon gros défaut c’est d’être trop à l’aise dans les conversations.

C’est une excellente chose en soi, mais à cause de cela il m’arrive de ne pas voir le temps passer et rester 5, voire 10 minutes de trop, alors que les éléments requis pour obtenir le numéro étaient déjà là.

C’est parce que je me suis tellement exposé au « risque » de ne pas trouver quoi dire que ça a perdu toute sa notion de risque !

Du coup je ne me sens plus pressé de terminer mes interactions, et je perds parfois du temps dans des discussions superflues (personne n’est parfait 😊)

Peur de demander le numéro ? De proposer un rendez-vous ? De toucher quand vous êtes assis au bar ? De lui proposer d’aller chez vous ?…

Même solution : la thérapie d’exposition.

Bien sûr, il y a des stratégies qui améliorent vos chances de réussir votre escalade. A ce stade il sera préférable de les connaître, car plus vous avancez dans le processus de séduction, moins votre réussite est dépendante du hasard.

Mais que ce ne soit pas un prétexte pour éviter de vous exposer au rejet ! Faire disparaître votre rejet reste la priorité.

Même si vous connaissez les meilleures stratégies et faites preuve du meilleur timing et de la meilleure calibration possible, vous chances de réussir votre escalade restent fortement corrélée à votre degré de peur.  

Toute chose égale par ailleurs, vous aurez bien plus de chances de parvenir à escalader en ayant de l’assurance que la trouille.

Mieux vaut escalader maladroitement mais avec assurance, qu’escalader adroitement en ayant la frousse d’être rejeté.

Idéal est de savoir faire les deux : escalader adroitement et avec assurance. Là vous serez (presque) inarrêtable !

Pour ça, vous devez d’abord vous confronter à vos peurs.

Et ensuite ?…

On récapitule :

  • Vous avez amélioré votre image afin d’avoir suffisamment attirance externe pour intéresser une partie des filles qui vous plaisent.

Pas toutes les filles, mais au moins une partie.

Ce travail-ci ne devrait pas être trop difficile à faire :

  • Des fringues à votre taille, relativement neuve et à la mode.
  • Une bonne coiffure et un style de barbe qui vous va bien.
  • Éventuellement, perdre ou prendre quelques kilos.

Cela fera l’affaire.

L’idée n’est pas de devenir une figure de mode ou un bodybuilder professionnel. C’est simplement de parvenir à susciter assez d’intérêt au départ pour qu’un maximum de femmes auxquelles vous irez parler vous laisse une chance de les séduire.

Si votre apparence fait la moitié du travail de séduction, tant mieux. Ce sera tant d’effort à faire en moins  ! Mais ce n’est pas l’objectif ici.

L’objectif c’est vraiment de susciter un intérêt initial suffisant avec une partie des filles qui vous plaisent et avec lesquelles vous interagirez, que ce soit dans lors d’une approche dans la rue, en bar, dans votre cercle social ou autre.
  • Vous savez quelles attitudes adopter auprès des femmes pour les séduire.

Pour rappel, il s’agit surtout de trouver un équilibre entre deux écueils :

  • Entre être « Alpha » et « bêta »,
  • Entre être « bad boy » et « nice guy »,
  • Entre être asexué et sexuel,
  • Entre être needy et indifférent,
  • Etc.

Vous seriez surpris d’apprendre que dans mon quotidien je fais un tas de choses que les pseudo coach en séduction déconseillent formellement.

  • Je suis souvent le premier à mes rendez-vous — ça me permet de me détendre un peu avant qu’elle n’arrive et de choisir l’endroit exact ou va se passer le rencard.
  • J’offre généralement la première tournée.
  • Il peut m’arriver de rendre service, de me montrer gentil, accommodant ou attentionné.

Pourtant j’ai plus de succès que tous ces dragueurs qui sont des caricatures de « l’Alpha mâle » ou du « player ».

Parce qu’à côté de ça, les filles s’aperçoivent très vite :

  • Que j’ai beaucoup d’assurance, plus que je n’en laisse paraître.
  • Que je suis détaché du résultat.
  • Que je peux dire « non » aux demandes inconvenantes.
  • Que je suis à l’aise avec la tension sexuelle, avec ma sexualité et la sienne.
  • Que j’escalade vite.
  • Que je ne me dégonfle pas facilement
  • Que je suis un homme expérimenté.

Et un tas d’autres choses à travers mon attitude qui sont attirantes.

Aussi, je ne fais jamais certaines choses stupides comme :

  • Déclarer « mes sentiments » ou autre tentative (désespérée) d’escalation verbale.
  • Dépenser beaucoup d’argent en rendez-vous, en « sortant le grand jeu » en les invitant des restaus ou bars très branchés hors de prix.
  • Envoyer des textos ou appeler tous les soirs.
  • Commenter/Liker chacune de leurs photos sur Facebook ou Instagram comme un bon gros lèche-cul…
  • Etc.

Ce mélange me rend encore plus intéressant. Je suis attirant, rassurant et difficile à cerner.

Et ce genre d’attitudes mesurées réduit les risques de réveiller l’ASD et provoquer un buyer’s remorse, que ce soit durant le processus ou après le sexe. J’ai donc également aussi plus de chances de les revoir et installer une relation (y compris non exclusive) avec elles.

Veillez juste à ne pas redevenir trop Nice Guy.

  • Vous avez éradiqué la peur du rejet, sous les différentes formes dans lesquelles elle se présente au cours du processus de séduction.

Vous avez (enfin) pris vous c*uilles et vos responsabilités, et vous avez appliqué la seule méthode qui fonctionne pour faire disparaître vos peurs : la thérapie d’exposition.

Vous avez fait une cinquantaine d’approches, peut-être plus, et maintenant vous réalisez que les 90% de théories que vous avez lus — qui implique de passer par des stratégies complexes — sont une blague et qu’il suffit d’arriver tranquillement vers une fille et lui adresser la parole correctement (avec un petit compliment ou une remarque selon le contexte).

Vous avez aussi repoussé vos peurs de la conversation et de l’escalation.

La phase de perfectionnement

Super, super !

Vous avez 80% du boulot.

Maintenant, vous entrez dans la phase de perfectionnement.

C’est le moment où vous pouvez consulter les bonnes sources infos (articles, vidéos, ebooks, etc.) et demander l’avis ou observer un dragueur plus expérimenté pour trouver des tips et/ou stratégies qui vous permettent d’être plus efficace.

C’est aussi le moment où vous devez pratiquer régulièrement si vous souhaitez affiner vos compétences et acquérir des expériences positives de référence.

Le chemin est long, alors bon courage !

Chrys

PS. – Cet article complet et honnête qui  vous explique comment progresser pour séduire fait environ 9000 mots, c’est l’équivalent à un ebook d’une cinquantaine de pages. Ça demande du boulot !

En échange je ne vous demanderais qu’une chose : partagez-le avec vos amis, sur les groupes Facebook et/ou les forums auxquels vous participez. Aidez-moi à propager une philosophie et une vision plus saine et réaliste de la séduction.

⊂Comment séduire ? 3 améliorations que tout homme devrait faire sur soi

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