Dans le même temps, l’immobilier situé dans des endroits déprimés économiquement ne semble pas vouloir s’apprécier et les ventes y sont difficiles. Cette tendance s’observe dans deux pays que je connais bien : la France et les États-Unis.
Les zones urbaines offrant beaucoup d'emplois et les lieux de loisirs, qu'ils soient en bord de mer ou à la montagne, bénéficient d'une appréciation qui semblent insensible aux hausses d’intérêts qui remontent à nouveau.
En résumé, le vieil adage immobilier: « emplacement, emplacement, emplacement » n’a jamais été aussi vrai et, avec une population mondiale en augmentation, il est vraisemblable qu'un immobilier limité en quantité va voir ses prix en hausse perpétuelle.