Exposition Cinémathèque Sergio Leone ou comment faire du cinéma ?
Publié le 04 novembre 2018 par Nathpass
"Il était une fois… Et la phrase magique de notre enfance, le sésame d'un conte destiné à nous guider sur les voies de l'imaginaire, dans un univers que nous pressentions mais qui se dévoile sous une lumière nouvelle.
Il était une fois : quatre mots qui transportent hors du présent et nous conduisent dans une dimension où se côtoient rêve et réalité, ou toute présence (qu'elle soit objet ou personnage) est à la fois concrètement définie est totalement irréelle. Pour aborder Sergio Leone, un artiste qui, comme Federico Fellini, a toujours aimé brouiller les pistes de son parcours artistique, nous avons donc choisi d'employer ces quatre mots magiques
il était une fois Sergio Leone...."
Sergio Leone enfant
Costumes d'Il était une fois l'Amérique
"De nombreux cinéastes contemporains, de Martin Scorsese à Steven Spielberg, de Francis Ford Coppola à Quentin Tarantino, reconnaissent une dette immense envers son cinéma et ses inventions. Leone nous a laissé un héritage créatif dont on commence seulement maintenant à comprendre la portée."Il y avait beaucoup de monde à cette expo et non seulement des cinéphiles mais comme nous des passants, des parents avec leurs jeunes enfants comme nous fascinés qui se sont arrêtés car ils ont aimé voir et revoir les meilleurs films de Sergio Leone et là ils comprennent les sources de son travail, ses maîtres Kurosawa Charlie Chaplin Michael Curtiz et bien-sûr John Ford, ses influences artistiques pour des peintres : Hopper, de Chirico, Goya, Degas.On le voit aussi sur les tournages tout faire tout indiquer aux acteurs, à la base il l'était aussi... dans un film comme le voleur de bicyclette et surtout il a été assistant pendant 14 ans...À la librairie de la cinémathèque on a feuilleté l'Avant Scène Cinéma avec tout le découpage plan par plan de
Il était une fois l'Amérique.https://www.mycanal.fr/cinema/le-cercle-du-19-10-le-cercle/p/1511600à la fin de l'émission Le cercle, en clair sur Canal+, Philippe Rouyer explique les correspondances entre le film de Kurosawa : le garde du corps et son premier western : Pour une poignée de dollars