Aujourd’hui, 16 octobre, a été décrété journée mondiale du par les boulangers. J’en ai donc sur la planche (avoir du travail) pour vous présenter diverses expressions se référant à cette denrée. Mais comme je suis bonne comme le bon (je ne suis pas méchante) et qu’il me faut bien gagner mon à la sueur de mon front (subvenir à mes besoins en me donnant beaucoup de peine), je vais mettre la main à la pâte. Et c’est du béni pour vous (c’est mérité), nos fidèles lecteurs. N’en déduisez pas que la rédaction de mes articles me semble longue comme un jour sans (pénible et interminable). Point du tout, ce n’est pas mon genre de manger de ce -là (faire quelque chose qui me déplaît) !
Et puis un article de plus ou de moins, ça ne mange pas de (ça n’a pas beaucoup d’importance) ! Cela pourrait même devenir mon gagne- (mon fonds de commerce) ! Car tout le monde le sait très bien, il vaut mieux en poche que plume au chapeau (plutôt manger que de dépenser en objets trop luxueux). Puisque ce faisant, je ne retire le de la bouche à personne (priver quelqu’un), j’apprécie que mes écrits partent comme des petits (se vendent lisent rapidement).
Vous écrire, c’est une façon pour moi de commencer par manger mon blanc (débuter par des choses faciles).
Bon, ce n’est pas le tout, il n’y a ni ni pâte au logis (plus rien à manger), je vous laisse maintenant pour aller faire les courses. En espérant bien sûr que je puisse m’en sortir pour une bouchée de (pour presque rien). Je vous avouerai que je n’ai pas mon cuit (je ne suis pas riche) mais ne mange pas pour autant mon sous mon manteau (être avare), mais je trouve que le d’autrui est amer (c’est désagréable de vivre de la charité). Rassurez-vous, je n’en suis pas à tremper son de larmes (être très malheureux et désespéré) car j’ai le bonheur d’avoir mangé plus d’un pain (j’ai beaucoup voyagé).
Et pour finir je vous offre un pain à hamburger car c’est l’heure du déjeuner !
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