Prenons donc la balle au bond : il est temps de renverser cette tendance à la centralisation afin de redonner de l’oxygène aux gestionnaires et aux différents acteurs du réseau. Un tel changement apparaît non seulement souhaitable, mais inévitable si on désire améliorer les choses. Pour y arriver, la solution est moins complexe qu’on pourrait le penser et ne suppose aucun nouveau bouleversement des structures.--- Alain Vadeboncoeur