Alors que le Congrès s’apprête à tenter de réduire les dépenses, je me souviens d’une soirée l’automne dernier au théâtre St. Louis Repertory. Avant le lever de rideau, le directeur de la compagnie est apparu et nous a encouragés à voter contre un projet de limitation des taxes d’État. Il craignait que cela mène à une réduction du financement de sa compagnie. Je me suis tourné vers ma voisine et je lui ai demandé si le fait que son billet de spectacle soit subventionné par un fermier dans le fin fond du Missouri la gênait. Elle m’a répondu que non, car il recevait probablement des aides lui aussi. Elle semblait penser que, d’une manière ou d’une autre, cela devait s’équilibrer. Je l’ai laissée tranquille, mais j’avais envie de dire que non, cela ne s’équilibre pas. Si cela s’équilibrait pour tout le monde, alors la dépense publique serait vraiment d’un ennui mortel : tout cet argent qui circule, tous ces employés du fisc, tous ces taux de taxation marginaux qui découragent l’effort au travail, tout ça pour que chacun reçoive la même part.
Ceux qui se gavent aux dépens des autres devraient avoir honte. Cette honte arrivera lorsque les autres seront forcés de tailler dans les dépenses.
Alors que le Congrès s’apprête à tenter de réduire les dépenses, je me souviens d’une soirée l’automne dernier au théâtre St. Louis Repertory. Avant le lever de rideau, le directeur de la compagnie est apparu et nous a encouragés à voter contre un projet de limitation des taxes d’État. Il craignait que cela mène à une réduction du financement de sa compagnie. Je me suis tourné vers ma voisine et je lui ai demandé si le fait que son billet de spectacle soit subventionné par un fermier dans le fin fond du Missouri la gênait. Elle m’a répondu que non, car il recevait probablement des aides lui aussi. Elle semblait penser que, d’une manière ou d’une autre, cela devait s’équilibrer. Je l’ai laissée tranquille, mais j’avais envie de dire que non, cela ne s’équilibre pas. Si cela s’équilibrait pour tout le monde, alors la dépense publique serait vraiment d’un ennui mortel : tout cet argent qui circule, tous ces employés du fisc, tous ces taux de taxation marginaux qui découragent l’effort au travail, tout ça pour que chacun reçoive la même part.
Alors que le Congrès s’apprête à tenter de réduire les dépenses, je me souviens d’une soirée l’automne dernier au théâtre St. Louis Repertory. Avant le lever de rideau, le directeur de la compagnie est apparu et nous a encouragés à voter contre un projet de limitation des taxes d’État. Il craignait que cela mène à une réduction du financement de sa compagnie. Je me suis tourné vers ma voisine et je lui ai demandé si le fait que son billet de spectacle soit subventionné par un fermier dans le fin fond du Missouri la gênait. Elle m’a répondu que non, car il recevait probablement des aides lui aussi. Elle semblait penser que, d’une manière ou d’une autre, cela devait s’équilibrer. Je l’ai laissée tranquille, mais j’avais envie de dire que non, cela ne s’équilibre pas. Si cela s’équilibrait pour tout le monde, alors la dépense publique serait vraiment d’un ennui mortel : tout cet argent qui circule, tous ces employés du fisc, tous ces taux de taxation marginaux qui découragent l’effort au travail, tout ça pour que chacun reçoive la même part.