Magazine Culture

La Prophétie de l’Horloge de John Bellairs

Par Artemissia Gold @SongeD1NuitDete
La Prophétie de l’Horloge de John Bellairs

A la mort de ses parents, Lewis est envoyé chez son oncle, un homme hors du commun : un magicien ! Lewis est ravi... au début. Un monde de merveilles s'ouvre à lui, que l'apprentissage de la magie lui dévoile peu à peu.Entrez dans un lieu hors du temps...
Puis Lewis ressuscite par mégarde l'ancienne propriétaire de la maison, la magicienne Serenna Izard. Or Serenna et son mari ont autrefois dissimulé dans les murs de la maison une horloge au tictac entêtant, une horloge qui a le pouvoir d'anéantir l'Humanité tout entière... Et seuls les Barnavelt peuvent l'arrêter !

Quand j'ai vu que La prophétie de l'Horloge était disponible en roman, je me suis jetée dessus. La bande-annonce m'avait beaucoup plu, et comme souvent les films sont différents des livres, ça me donnait enfin l'occasion de lire un roman avant d'en voir l'adaptation cinématographique.

J'ai été charmée par l'histoire. Lewis vient de perdre ses parents, sa garde est confiée à son oncle Jonathan. Le jeune garçon remarque que plusieurs choses étranges se passent au numéro 100 de la rue Haute. Lewis aprend donc que son oncle est un magicien !

Ce roman m'a captivé, la lecture a été facile, fluide. C'était vraiment très agréable. Le climax m'a semblé arriver tardivement, mais chaque événement nous amène progressivement vers la fin, développant les personnages, leurs relations les uns avec les autres et ça nous laisse le temps de savourer l'univers crée par l'auteur.

Ce que j'ai apprécié, c'est les illustrations à chaque chapitre. Elles reflètent bien les descriptions faites et peuvent aider ceux qui ont plus de mal à se projeter dans l'histoire.

J'ai beaucoup aimé les personnages, ils sont vraiment attachants.
Lewis Barnavelt m'a touchée. Il a des difficultés d'intégration auprès des autres enfants, et ces derniers ne voient pas les qualités mais que ses défauts.
Jonathan Barnavelt est décrit comme ayant un côté rustre, enfin c'est le sentiment que j'ai eu, mais il est doux, et protecteur envers son neveu.
Florence Zimmerman est vraiment sympathique et sa relation avec Jonathan, surtout dans leurs dialogues, est amusante.

C'est un livre que j'ai beaucoup aimé, je pense même le relire. J'ai hâte de lire la suite !

La Prophétie de l’Horloge de John Bellairs


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Artemissia Gold 67457 partages Voir son profil
Voir son blog

Magazines