Duras et Yourcenar sont peut-être nos plus grands écrivains de la deuxième moitié du XXeme siecle, mais les hommes auront eu cinq prix Nobel sur la même période, Modiano, Le Clezio, Camus, Simon et Sartre.
Juliben Gracq a peut-être été oublié, mais ses critiques me semblent plus incisives que ses romans, qui savent moins générer l’émotion que Duras et Yourcenar.
Personne ne semble vraiment se souvenir d’elles, ni les lire encore, et pourtant ce sont nos plus grandes stylistes.