Cela fait un an, date pour date, que j'ai posté ma première chronique. En un an, c'est fou ce qu'on peut évoluer ! Allez, entrons dans le cœur du sujet.
Dans le quatrième opus de la série, Parker traverse l'Atlantique pour se rendre à Milan. Un créateur de lingerie l'a engagé pour s'occuper de son défilé.
Avec l'aide de Bo, il devra apprendre aux jeunes femmes qui vont présenter les modèles à se sentir à l'aise sur un podium. Une tâche loin d'être facile, d'autant plus que toutes sont des mannequins amateurs, mais un beau challenge pour nos coachs.
Par ailleurs, la presse people s'est emparée de l'histoire d'amour entre Skyler et Parker, et pas toujours pour le meilleur. Parker a été pris en photo dans une situation équivoque avec une autre femme. Encore une situation périlleuse dont Parker devra se sortir.
Je vous ai confié ma déception au début du troisième tiers du tome 3, mais l'épilogue avait relancé mon intérêt.
On pouvait s'attendre à une suite mélodramatique, mais ce n'est pas le cas. En soi, ce n'est pas gênant, mais selon moi la situation se règle un peu trop vite.
Il faut attendre la page 60 pour entrer dans le sujet de ce tome. En soi, ce n'est pas un problème surtout que la mission de Parker et Bogart ne méritait pas d'être développée sur plus d'une centaine de pages. Donc la découpe est bien faite.
Cette dernière sortie ne m'a pas laissé une grande impression. J'ai lu ce tome sans grande motivation. La mission à Milan n'est pas ce qu'Audrey Carlan a fait de plus intéressant.
était modèle pour une marque de lingerie et de maillot de bain pour toutes les tailles. A Milan, Parker et Bo doivent aider des femmes à se sentir à l'aise dans la lingerie qu'elles doivent porter pour un défilé . Ça m'a un peu rappelé Calendar Girl Mai. Si vous l'avez lu, vous vous rappellerez peut-être que ce mois-là, On retrouve la même idée, mais avec la volonté de voir des femmes avec de vraies formes féminines sur les podiums des grands défilés.
Les personnages sont plutôt bien développés, que ce soit les principaux ou les secondaires. Audrey Carlan ne s'étend pas plus qu'il n'en faut , juste assez pour qu'on puisse se faire une idée des personnages qui ne font que passer dans ce tome.
Comme pour Copenhague, j'ai trouvé l'épilogue de mieux écrit, moins quelconque. J'attends les prochains tomes avant de me prononcer sur cette constatation. Milan