Visa pour l’image 2018 – Festival international du photojournalisme | Perpignan

Publié le 31 août 2018 par Philippe Cadu

Du 1er au 16 septembre 2018

https://www.visapourlimage.com/

30 ANS

Écoutez Samuel Bollendorff "contaminations" en interview dans "Par les temps qui courent

Depuis 1989, nous nous efforçons de vous présenter chaque année une sélection de ce qui se fait de mieux en matière de reportage et de photojournalisme. notre programme d'expositions et de soirées. Invariablement, nous avons toujours répondu la même chose : " Avec notre mauvais goût. " Une manière certes un peu maladroite d'exprimer notre philosophie de travail, mais qui la résume pourtant assez bien : nous ne nous reposons sur rien d'autre que nos convictions et notre vision de la photographie pour élaborer la programmation. Ainsi, nous nous félicitons d'avoir pu offrir les murs du Couvent des Minimes et l'écran du Campo Santo à festival, mais aussi et surtout des photographes qui l'ont fait. Chacun à leur manière, ces clichés nous ont marqués et raconté quelque chose qui, à l'aube de cet anniversaire, nous semble toujours d'actualité. Des messages qui méritent encore de résonner dans les rues et les couloirs de cette ville ; des récits, des rencontres et des anecdotes qui ont participé à écrire
Pour célébrer les trente ans de Visa pour l'Image, nous avons souhaité vous offrir quelque chose de particulier.
Chaque année, visiteurs, photographes, iconographes, journalistes et autres curieux ne cessent de nous demander comment nous réalisons
Aussi nous paraissait-il difficile - et même contradictoire - de tenter de vous présenter les " grandes " photos de ces trente dernières années. tous les géants de cette profession, comme aux nouveaux talents que nous avons parfois su découvrir et accompagner.
Nous avons donc préféré vous présenter une sélection de " nos " grandes photos. Ces images sont les fragments d'une histoire. Celle de ce
Bonne visite ! l'histoire de Visa pour l'Image et que nous souhaitions partager avec vous. Car cet anniversaire, finalement, c'est aussi un peu le vôtre.

Jean-François Leroy et Delphine Lelu