Quand on essaie de mettre en perspective certains événements historiques, on divise souvent les choses en « bon vieux temps » et en « temps modernes » parce qu’il peut arriver à notre cerveau d’avoir de la difficulté à saisir le concept du temps. Mais que se passe-t-il quand les choses que l’on croyait appartenir au monde contemporain sont en réalité beaucoup plus anciennes qu’on le pense ? Cela nous sort de nos bonnes vieilles habitudes de catégorisation et nous oblige à réévaluer la manière dont nous percevons l’histoire. Mais cela ne peut être qu’une bonne chose, n’est-ce pas ?