Aujourd’hui, Circle vient poursuivre le voyage entrepris par l’artiste anglais il y a cinq ans dans les sillages de grands noms tels John Carpenter, Philip Glass ou Colin Stetson par exemple.
Phil France est donc un bassiste qui, comme on l’entend dès l’éponyme chanson d’ouverture, utilise des sonorités électroniques avec passion. Il cite sans hésiter l’une de ses autres influences notables : la musique électronique française, ce que l’on l’entend assez nettement sur « Bells » et « Cathedrals », la référence première me semblant être le deuxième album aux sonorités very disco d’un célèbre duo casqué…
Je ne me lasse pas de cet album, en particulier de « Circle » – en ouverture – et sa reprise, en toute fin d’album, avec son piano magique. Difficile de s’arrêter là, de ne pas faire replay.
Phil France signe un album élégant, pudique, d’une beauté touchant parfois au sublime, sans parler des frissons qu’il procure par moments. Splendide !
(in heepro.wordpress.com, le 31/08/2018)
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